1. La déception pousse vers des voies étroites


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fsoumise, soubrette, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique,

    Résumé des épisodes précédents : «Origines : attaque et prisonniers » «La vie reprend : il faut s’adapter » «La vie reprend : la curiosité peut révéler des choses » «La vie reprend : espoir de promotion » «La vie reprend : Ennemis jusqu’où ? » « Espoir de promotion - Croisée des chemins - À la cour du Roi » La guerre fait rage à la suite d’un raid tanibrinque sur le port de Dorbauxe dans le royaume de Canfre. Le vice-amiral vicomte Charles de Sombreuil fait partie du Conseil du Roi. Il est l’amant de la marquise Anaïs de Pierrenoire. Sur instruction il lui distille des renseignements sur ce que s’y décide, la belle marquise les revendant à un agent tanibrinque. Cette « mission » le tient éloigné de celle après qui il soupire. ____________________________________________ Peu de temps se passe, après la sortie du Conseil, avant que la marquise ne l’interpelle. Cela l’exaspère, il aurait tant voulu pouvoir mettre de l’ordre dans ses idées tranquillement, mais il n’en laisse rien paraître et l’accueille avec affabilité et badine avec elle tout en quittant le château. En passant devant une écurie, une impulsion le fait l’entraîner à l’intérieur et la pousser dans un box libre et sans plus s’inquiéter d’autre chose que de se défouler de sa frustration d’être retenu à terre, d’être éloigné de Claire, de ce rôle de benêt bavard qu’il doit jouer. Il la déshabille, lui arrachant presque ses vêtements. À dire vrai bien qu’être traitée de la sorte ne soit point fort à son goût, elle ...
    ... n’émet que de timides protestations ne voulant pas indisposer son amant avant d’avoir pu obtenir des informations sur ce qui s’est dit au Conseil. La malchance voulut que ces protestations pourtant peu véhémentes attirent l’attention d’un palefrenier qui s’approche pour voir ce qui se passe. Après être resté un moment interdit, il se retire vivement. Quand la marquise perd ses derniers vêtements et se retrouve nue, l’homme qui a filé chercher quatre collègues pour qu’eux aussi profitent du spectacle, est installé avec eux sur le plancher qui domine les stalles, ayant une magnifique vue plongeante sur la scène. Charles la renverse sur un coffre. Sans plus de préliminaires, il s’enfonce en elle d’un coup jusqu’à la garde et la bourre sans ménagement. Sous l’assaut, Anaïs qui ne s’attendait pas à cette brusquerie, a un hoquet de surprise. Le début du rapport est laborieux, d’autant que la lubrification de l’intimité fait défaut. Quand celle-ci vient, la marquise commence alors à plus goûter, le traitement. Elle couine alors à chaque tamponnement. Ce que voyant, le Vice-amiral se retire. Elle sentait le plaisir poindre et se sent frustrée du retrait de Charles. Elle n’a pas le temps de manifester son désappointement qu’il la relève du coffre, la pousse à genoux sur la paille, la fait choir à quatre pattes et la prend en levrette. Loin de critiquer ces manières cavalières, elle tend la croupe. Cela donne une idée à Charles, dont le ressentiment n’est pas apaisé. Il sort de la chatte ...
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