1. La déception pousse vers des voies étroites


    Datte: 09/07/2019, Catégories: fh, fsoumise, soubrette, vengeance, chantage, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, historique,

    ... Sombreuil. Mes jeunes sœurs ont dû bien changer et mon frère prendre quelques pouces. Je vais de ce pas me préparer afin de pouvoir partir demain. D’importantes décisions ont été prises au Conseil de ce jour et il n’y en aura point d’autre qui nécessite ma présence avant trois, voire quatre semaines. Cela ne fait pas les affaires d’Anaïs. Si Charles s’éloigne, elle ne pourra le faire parler et apprendre en quoi consistent ces importantes décisions avant son retour, les renseignements seront alors trop anciens et perdront de leur valeur. À son corps défendant, elle répond : — N’en faites rien. En la voyant capituler, il jubile et enfonce le clou. — Auriez-vous changé d’avis ?— Oui, répond-elle la mort dans l’âme.— Vous avez raison. C’est comme avec les chevaux quand le débourrage est commencé, il ne faut pas l’interrompre. Il ramasse la culotte de la marquise, la trempe dans un seau pour se nettoyer le sexe avant de l’engager à le sucer. Elle s’agenouille et s’exécute. Pendant qu’elle opère, du coin de l’œil il repère les cinq hommes. Son premier mouvement est de les chasser, mais se ravise et fait comme si de rien n’était. Quand il a retrouvé une belle érection, il la fait pencher, prend un flacon d’onguent pour les chevaux, la consistance lui paraît adéquate. Il ordonne à la marquise d’écarter ses adorables fesses et verse une généreuse rasade. Il masse l’œillet un moment, ajuste son dard, pousse et envahit de nouveau le fondement d’Anaïs. Pour cette dernière ce n’est ...
    ... toujours pas la joie, mais cette nouvelle intrusion est « moins pire » que la précédente. Grâce au baume et à ce qu’a déversé le vicomte quand il s’est vidé les couilles, cela glisse mieux et la sensation de brûlure en est atténuée. Le second assaut dure encore plus longtemps que le premier. Quand Charles la libère de son étreinte, elle prie pour qu’il n’en entreprenne pas un troisième. Elle est exhaussée. C’est en se relevant qu’elle découvre à son tour les palefreniers les épiant. Elle pousse un cri et les montre de la main. Charles les interpelle : — Holà, faquins, au lieu de bailler aux corneilles, apportez de l’eau et du linge pour la marquise de Pierrenoire. Les cinq hommes dégringolent de leur perchoir et une minute plus tard deux seaux d’eau et un morceau d’étoffe sont déposés avec force courbettes. Le vicomte leur ordonne de disparaître ce qu’ils font prestement. Après cela, il se retourne vers la marquise qui, réalisant que sa prestation culière était un spectacle public et que le vicomte l’a appelée par son nom, a l’esprit en déroute et reste figée : — Ces Marauds ne nous importuneront plus, annonce-t-il en finissant de s’essuyer avec la culotte d’Anaïs. Cela fait, il entreprend à l’aide du chiffon à la propreté incertaine de nettoyer la jeune femme toujours sans réaction. L’eau froide sur son visage lui rend ses sens. Elle prend des mains de Charles le linge en disant qu’elle s’en occupe elle-même. Quand elle a achevé, elle enfile ses vêtements qui Dieu merci n’ont pas ...
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