La déception pousse vers des voies étroites
Datte: 09/07/2019,
Catégories:
fh,
fsoumise,
soubrette,
vengeance,
chantage,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
historique,
... de l’accompagner pour ses ablutions. Quand Marguerite commence à aider sa maîtresse à se dévêtir. Celle-ci préférant qu’elle ne la voie pas harnachée comme elle l’est lui dit : — Laisse. Monsieur le vicomte va s’en occuper. Celui-ci rétorque : — Poursuivez Marguerite. Je vois la baignoire assez vaste. Si vous le permettez chère Anaïs, je vais partager ce bain avec vous. Il ne lui laisse pas le temps de donner son avis qu’il commence de se dévêtir. La soubrette reprend son ouvrage. Quand elle découvre l’attirail qui ceint la marquise elle ne peut retenir un : « Ho ! » de surprise qui, quoique discret, met en joie le vicomte et agace la marquise. De plus Marguerite ne parvient pas à délier le nœud. Elle s’escrime longuement sans résultats. Le vicomte ayant achevé de se dévêtir vient à son aide. Ils finissent par venir à bout du récalcitrant, libérant, à son grand soulagement, le cul d’Anaïs de son occupant, non sans que Charles ne l’ait abondement secoué, tiré, repoussé durant l’opération, prenant un malin plaisir à multiplier les remuements, d’autant plus que la camériste ne peut s’empêcher de pouffer à le voir agir. Quoi qu’elle soit derrière la marquise et le fasse discrètement, celle-ci ne manque pas de s’en apercevoir, ce qui la met d’humeur fort chagrine. Elle se tourne vers Marguerite et lui demande d’aller quérir de l’huile parfumée qui est en son cabinet. Le Vicomte est surpris de la voir, avant de le rejoindre dans la baignoire, prendre l’instrument qu’elle a si ...
... longtemps abrité en elle et de le nettoyer soigneusement. Dans l’eau, elle le savonne et frictionne consciencieusement, n’ayant pas l’air de lui tenir rancune du traitement qu’il lui a fait subir. Il lui rend la pareille, ce que faisant il laisse Marguerite désœuvrée. Celle-ci son flacon déposé va donc pour se retirer, mais la marquise la retient, pour qu’elle lui prépare son linge. Sortie du bain et habillée de frais, Anaïs se tourne vers sa domestique et lui dit suavement : — Aujourd’hui Monsieur le Vicomte me fit la grâce – elle se tourne vers lui et incline la tête – de me faire vivre de nouvelles expériences. Eu égard à ta fidélité, je m’en voudrais de ne pas te les faire partager.— Mais Madame…— Non ne me remercie pas, surtout que je ne puis te les faire toutes connaître, en particulier, celle, rare, de se faire foutre dans une écurie, épiée par une bande de lads. Le vicomte veut intervenir, mais à peine a-t-il commencé à ouvrir la bouche que la marquise l’interrompt : — Ah Monsieur ! Manqueriez-vous de cœur ? Vous voudriez priver Marguerite des nouvelles sensations que vous m’enseignâtes. Sans lui laisser le temps de répliquer, elle enchaîne : — Allons, ma fille, défais-toi.— Mais, Monsieur le Vicomte…— Reste pour me conseiller. Vois comme je t’estime. Je veux te faire partager les originaux émois que j’ai découverts ce jour. Refuserais-tu les bontés que j’ai pour toi ?— Madame, je n’en suis pas digne.— Que nenni. Je tiens à te récompenser de ton dévouement. Je serais très ...