1. Technicienne de surface


    Datte: 13/07/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, fsodo, ecriv_f,

    ... pas à jouir. Ensuite, il écarte mes fesses et me lèche le trou de balle. C’est vraiment bon, j’ai vraiment envie qu’il m’encule, je suis prête à accéder à tous ses désirs. Je n’ai pas eu le temps de reprendre mes esprits qu’il est déjà sur moi, puissant, vigoureux, très mâle. Je m’offre à lui, entièrement. À chaque va-et-vient, je sens monter en moi des vagues de jouissance. Il est d’une atroce vulgarité, mais j’aime ça. Mais oui, je suis ta catin, mais, oui, je suis une vicieuse en manque de bite. Je suis tout cela à la fois et beaucoup plus encore. Cette fois-ci, nous jouissions de concert. Il brame comme un cerf en laissant échapper sa semence. Je dois me mordre les lèvres pour ne pas crier. Nous reprenons lentement nos esprits. Jamais je n’ai été si bien baisée, j’ai envie que cela recommence, vite, vite. J’aime ce mec, je l’ai dans la peau, il me fait si bien jouir. À nouveau, je sens son jus couler entre mes cuisses. — Maintenant, tourne-toi que je prépare ton cul À nouveau, il me lèche, je sens sa langue glisser en moi, sa langue et puis ses doigts. J’ai très envie de cette sodomie, mais je le trouve tellement gros que j’ai un peu peur. Mais il prend bien son temps, il m’élargit le trou par des mouvements circulaires. Enfin, je sens son gland qui presse contre ma rosette. Je me mords les lèvres, j’ai peur d’avoir mal. Mais, curieusement, il rentre beaucoup plus facilement que prévu. Il me remplit entièrement, cet énorme boudin chaud me déforme l’anus. Passé la ...
    ... brûlure de la pénétration et les picotements qui en résultent, ça va plutôt bien, même si je me sens écartelée par cette énorme colonne de chair. Il reste immobile, sans bouger, tout au fond de mon cul, le temps que je m’habitue, puis commence de lents va-et-vient dans mon cul. C’est tellement bon, je n’en reviens pas, et même lorsqu’il accélère un peu la cadence, ce qui ne m’empêche pas d’ailleurs de titiller mon clitoris avec mes doigts — T’aimes ça, te faire enculer, ma salope.— Oui j’aime ça. Défonce-moi bien le cul, j’adore. Je ne me reconnais pas, je parle presque comme lui, je deviens une vraie chienne avide de sexe. Il me bourre maintenant le cul sans complexe tandis que je masturbe comme une folle de mon côté. Et lorsque je le sens se vider dans mes entrailles, la jouissance me terrasse et je retombe comme une chiffe molle sur les cartons. Il ressort son sexe de mon cul et me le présente à lécher, je ne suis pas trop chaude pour ce truc, ça sent un peu le cul, je trouve ça écœurant, mais je prends sur moi pour lui faire plaisir. Sa queue une fois propre, il se rhabille sans plus attendre — À la prochaine ma cochonne, et n’oublie pas de te raser la chatte. Et il me quitte sans demander son reste, nue sur les cartons, avec sa semence qui coule de mes deux trous. Finie la complicité des études, maintenant je ne suis plus à ses yeux qu’une femme de ménage vicieuse qui a toujours un trou à boucher. Et c’est bien ce que je suis au fond, une vicieuse en manque de sexe, et je le ...
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