1. Duel d'épicières


    Datte: 14/07/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, sales, magasin, pénétratio,

    Lorsque j’étais étudiant, il m’est arrivé de faire des petits boulots pour me faire de l’argent de poche. Celui-ci, un peu plus long que les autres, je l’avais trouvé un peu par hasard, en traînant dans un bar du centre-ville. C’est le patron du bistrot qui m’a dit que je n’avais qu’à essayer à l’épicerie du coin, que la mère Terraillon devait avoir besoin de quelqu’un, ces temps-ci. J’ai donc tenté ma chance. C’était un petit magasin qui ne payait pas de mine, un peu désuet et un peu sale, disons qu’il ne donnait pas trop envie d’acheter quelque chose, mais il avait quand même sa clientèle, pour la plupart des gens du quartier. La mère Terraillon était une grosse bonne femme pas très grande, un peu revêche et peu aimable qui grognait plutôt qu’elle ne parlait. Elle m’expliqua que son mari était malade, qu’elle était seule avec son employée et qu’elle avait besoin de quelqu’un pour l’aider le matin. — Vous êtes un peu gringalet, me dit-elle, sans ambages. Le gringalet, si tu savais ce qu’il te dit ! Mais j’avais besoin de travailler et j’acceptai son offre. Le seul ennui, c’est qu’il fallait se lever tôt. Je fis bientôt la connaissance de Françoise, la jeune femme qui travaillait avec elle. Assez sympa et plutôt cool, elle me dit que Marielle, notre patronne, n’était pas une femme commode et qu’elle se faisait souvent houspiller quand quelque chose allait de travers. — Le mieux, si elle t’engueule, tu fais profil bas, t’attends que l’orage passe. C’est une mal baisée ou pas ...
    ... baisée du tout. Depuis que je la connais, elle a toujours été comme ça, à traiter ses employés comme de la merde, mais au fond ce n’est pas une mauvaise femme. L’année dernière, j’ai eu un problème avec un de mes gamins… Eh bien, c’est elle qui a payé l’hôpital, je n’aurais pas pu m’en sortir toute seule. Sous son air un peu bourru, elle cache un cœur en or. Françoise était mère célibataire. Elle élevait seule ses deux mômes et habitait un peu plus loin un appartement plutôt vétuste au cinquième sans ascenseur. Sans être spécialement belle, elle n’était pas non plus repoussante. C’est elle qui m’a dragué, presque dès les premiers jours. Sa vie n’était pas toujours facile et je crois qu’elle avait simplement besoin d’un peu de compagnie et d’affection. C’était en tout début de matinée, j’étais en train de remplir les rayons, il n’y avait pas encore un seul client. Elle s’est approchée de moi. — Que fais-tu ce soir ?— Je ne sais pas, peut-être que je vais réviser.— Ça te dirait de venir chez moi ? Le soir même, je me pointe chez elle. Elle m’accueille en vague nuisette. — Mes enfants dorment chez des camarades. Tout est calculé, aucun doute sur ses intentions, elle a très envie de se faire baiser. D’ailleurs, elle se jette de suite à mon cou et réclame un baiser. Nous nous retrouvons bientôt sur la banquette à nous bécoter. Je la sens chaude et très impatiente. Elle presse avec envie mon sexe déjà tout dur, puis elle se redresse et défait mon pantalon avant de m’emboucher. L’art ...
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