1. Duel d'épicières


    Datte: 14/07/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, sales, magasin, pénétratio,

    ... tout cas, je voulais vous dire que si je ne fais pas l’affaire, vous n’avez qu’à me le dire tout de suite et je démissionnerai.— Qui vous a dit que vous ne faisiez pas l’affaire ?— Vous n’arrêtez pas de m’engueuler.— Oh ! la petite chochotte ! Si l’on peut rien vous dire, en plus ! Non mais je ne le crois pas : ça bécote les pouffiasses et ça chouine pour un rien. Je ne sais plus quoi dire. Je la regarde, je m’aperçois qu’elle pleure, des larmes coulent sur ses joues, qu’elle balaye d’un geste de sa main. Je ne sais vraiment plus quoi faire, ni quoi penser. — Mais qu’est-ce que vous avez ?— Oh, fichez-moi la paix, à la fin… Vous ne voyez pas que je suis jalouse ! Jalouse ? Ça me laisse pantois. Je reste là, les bras ballants, au milieu du magasin tandis qu’elle s’affaire au-dehors pour couvrir les légumes. Jalouse, elle, cette femme de 55 ans ? Jalouse de qui, jalouse pour quoi ? Jalouse pour moi ? J’en suis sur le cul. Elle rentre et ferme la porte. — Bon, ben, ne restez pas là, on ne va pas en faire un plat ! C’est l’heure d’aller casser la croûte. Pour aujourd’hui, je ne veux plus vous voir.— Écoutez madame Terraillon…— Marielle, je m’appelle Marielle. Françoise m’appelle Marielle, les clients m’appellent Marielle. Tout le monde m’appelle Marielle. Madame Terraillon par-ci, madame Terraillon par-là, j’en ai assez de vos « mesdames Terraillon », vous avez l’air stupide, j’en ai assez de vous. De nouveau une larme au coin de l’œil. C’est vrai qu’elle est touchante. Je ne ...
    ... l’aurais jamais cru si sensible. C’est alors que je commets l’impensable, je la prends par les épaules et l’embrasse sur les lèvres. Elle me repousse : — Vous faites ça par charité ?— Non, je n’aime pas vous voir pleurer.— C’est bien ce que je dis, vous faites ça par charité. Allez, laissez-moi passer !— Non ! Je me tiens au beau milieu de l’allée. Le magasin étant petit, elle ne peut pas me contourner, surtout avec son embonpoint. — Comment ça, non ? Vous comptez me violer ?— Pourquoi pas !— Vous n’en avez pas envie.— Qu’en savez-vous ?— Je le sais parce que je suis une vieille femme, grosse et moche et que vous êtes un jeune homme beau et fringuant… Je me suis encore monté la tête pour pas grand-chose… Allez, soyez gentil, laissez-moi passer.— Je vous dis : non.— Vous voulez que je me déshabille tout de suite ou plus tard ? Vous comptez me prendre là, dans l’allée ?— Pourquoi pas ?— Vous êtes fou ! Je pose mes mains sur ses seins lourds et tombants. Elle pousse un gros soupir ! — Vous êtes fou, répète-t-elle.— Vous mourez d’envie que je vous touche.— Qu’en savez-vous ?— Vous mourez d’envie que je vous prenne là, au milieu de l’allée.— On pourrait nous voir depuis la rue.— J’ai très envie de vous. C’est vrai que je bande ferme. Marielle n’a pourtant rien de sexy, avec ses cheveux courts, son cou taurin et son double menton. Je dégrafe lentement sa blouse. Elle me laisse faire et me confirme ainsi son assentiment. Je la pelote doucement à travers son pull. — Vous avez de beaux ...
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