1. Duel d'épicières


    Datte: 14/07/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, sales, magasin, pénétratio,

    ... de la fellation n’a aucun secret pour elle. À mon tour de m’occuper d’elle, sa liqueur est sucrée, douce entrejambe poilue dont la chaleur est intense. Je mets un préservatif avant de la pénétrer. Elle m’agrippe par les fesses puis elle m’attire au plus profond, en fermant les yeux pour mieux profiter de cet instant. Nous varions les positions, devant, derrière, sur le côté, elle vient aussi sur moi. Elle veut vraiment profiter de cette soirée et bien se faire défoncer. Elle jouit plusieurs fois, avant de m’épuiser. Nous allons prendre une petite douche avant de passer à table. Après le repas, elle m’entraîne dans son lit et nous recommençons. — Cela faisait plus d’un mois que je ne m’étais pas fait baiser, m’avoue-t-elle après l’amour. En tout cas, c’était vraiment très bon.— Je te retourne le compliment. Nous fumons tranquillement une cigarette. — Je suis désolée, mais je vais devoir te demander de partir. On me ramène les enfants de bonne heure et je ne voudrais pas qu’on te trouve là. Je rentre chez moi un peu dépité, je n’ai pas tellement l’habitude de ce genre de plan. Cela ne m’empêche pas de recommencer avec elle, plusieurs fois les semaines qui suivent, souvent un petit coup entre deux portes quand le magasin est fermé et que les enfants sont à l’école. Nous allons jusque chez elle et nous baisons jusqu’à plus soif. Jusqu’au jour où… Jusqu’au jour où madame Terraillon nous surprend en train de nous bécoter dans la réserve. Certes, il n’y a pas mort d’homme, mais la ...
    ... vieille est en colère : — Je ne vous paye pas pour faire vos cochonneries. Allez faire ça ailleurs. Elle est vraiment furax. J’essaie de lui expliquer mais je me fais incendier. Elle me traite de bon à rien, d’incapable, me dit que je ferais mieux de retourner à mes chers cahiers. Françoise fait profil bas et retourne à sa caisse. Les jours qui suivent, la patronne me fait la gueule. Tous les prétextes sont bons pour m’engueuler. J’ai cassé un pack de lait dans la réserve, j’ai oublié d’approvisionner les conserves, j’arrive en retard tous les matins. Au bout de quinze jours, je me dis que j’en ai vraiment assez, que je vais peut-être me casser, j’en ai marre de me faire incendier par cette grosse conne. Avec Françoise, nous avons cessé de nous voir, il me semble d’ailleurs qu’elle n’en a plus très envie. Un midi, enfin plutôt vers 13h30, alors que j’assure la fermeture avec ma patronne, je prends mon courage à deux mains et me décide à lui parler : — Madame Terraillon, je voulais vous dire…— Me dire quoi ?— Enfin, je voulais dire, pour l’autre jour dans la réserve… je suis désolé, cela ne se reproduira plus.— Elle a le feu au cul, cette Françoise, je me demande ce qui me retient de la virer !— Je vous jure, c’est de ma faute.— Vous croyez que je ne vois pas son manège, toujours à vous coller. Tu m’étonnes qu’elle se soit fait faire trois mouflets ! Parce qu’en plus, je parie qu’elle ne vous a pas raconté : il y a deux ans, elle s’est fait faire un môme, elle a dû avorter…— En ...
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