1. Duel d'épicières


    Datte: 14/07/2019, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, Collègues / Travail gros(ses), grosseins, sales, magasin, pénétratio,

    ... lolos, Marielle. Elle ferme les yeux, comme pour mieux profiter de mes caresses. Je la pétris comme de la bonne pâte. Ses gros nichons tout mous me font perdre la raison, je les malaxe de plus en plus fort avant de soulever d’un coup son pull. Ils sont emprisonnés dans un soutien-gorge sans grâce. Je les libère un à un avant de téter cette imposante poitrine plutôt tombante. Ses aréoles sont larges et très brunes. Elle gémit sous la tétée, ses dessous de bras poilus sont très excitants. Je lui fais retirer sa blouse, son pull, son soutien-gorge. Son ventre est rebondi et plein de vergetures. Tout en palpant ses seins, je l’embrasse avec ferveur, à pleine bouche. Elle se donne entièrement à moi, elle embrasse comme une collégienne, nos langues sont fiévreusement enlacées dans un baiser goulu. Alors que je dégrafe sa jupe, elle se retourne vers la vitrine, un peu inquiète : — Je vous jure, on va nous voir. Cela ne m’empêche pas de baisser sa grande culotte et je ne peux que remarquer la tache jaunâtre qui orne son entrecuisse. Elle a de sacrés cuissots, la Marielle, et aussi deux ou trois bourrelets. Sa chatte, largement poilue, est néanmoins clairsemée. C’est une forêt discrète de longs poils tout bouclés. À genoux devant elle, je hume son fumet et cherche son bouton avec ma langue. — Humm Marielle, j’adore vos odeurs intimes. Vous êtes… vraiment très excitante.— Vous ne voulez pas aller dans l’arrière-boutique ?— C’est ici que je veux vous baiser, lui réponds-je fermement. ...
    ... J’écarte largement ses chairs et dévore son fruit rouge. Elle n’en peut plus, elle commence à vaciller. Ses jambes ne la portent plus. Elle décide elle-même de s’allonger sur le sol glacé et m’offre sa chatte largement écartée. Je la dévore à pleine bouche. J’aime son odeur un peu négligée, j’aime cette odeur de pisse, je bande comme un malade. Je la mange avec appétit, tellement d’appétit que je la sens jouir bientôt dans ma bouche, une vague de liquide chaud m’asperge le visage. Elle se tortille en tous sens et griffe le sol avec ses doigts. Un peu plus tard, la voici assise par terre, qui me suce avec application. Elle fait cela assez maladroitement. Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas une pro. Ce n’en est que plus touchant pour une femme de son âge… Elle semble tellement inexpérimentée… — Viens, me dit-elle en se rallongeant sur le carrelage. Prends-moi ! J’ai envie de toi. Elle me supplie presque. Alors je viens entre ses cuisses et je la baise avec vigueur. Nous faisons l’amour un bon moment parmi les boîtes de conserve. Un peu plus tard, je la fais mettre à genoux pour la prendre en levrette. Nous sommes face à la vitrine, ses gros seins tombent de sous son corps. Dans la rue, des gens se sont arrêtés pour discuter. Ils ne regardent bien évidemment pas dans notre direction, mais cette impression d’être en danger est vraiment très excitante. Je la chevauche alors comme un forcené en la faisant hurler de jouissance. — Regarde, ma cochonne, tout le monde ...
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