Duel d'épicières
Datte: 14/07/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
Collègues / Travail
gros(ses),
grosseins,
sales,
magasin,
pénétratio,
... va voir ballotter tes gros nichons. Elle gémit. — Avoue que tu aimerais ça, qu’ils te voient à poil, en train de te faire baiser dans ton magasin. Elle gémit encore. — J’aimerais te prendre juste derrière la vitre, tes gros seins écrasés contre la vitre, pour que tout le monde les voie bien. C’en est trop pour elle, mes paroles la stimulent. Elle explose complètement de plaisir en poussant un cri de bête, tandis que je la remplis de ma semence. Ensuite elle se retourne et nous nous embrassons durant un long moment sur le sol froid, enlacés comme des amoureux. — Eh bien, dis donc, quelle aventure ! me dit-elle. Je ne savais plus que c’était aussi bon ! Cette fois-ci, les larmes roulent abondamment sur ses joues, je les intercepte avec ma langue. — Je ne savais pas que ce serait un jour possible, me confie-t-elle. Depuis le temps que j’y pense.— Tu pensais à moi ?— Très souvent depuis que je te connais, trop souvent. Je me suis souvent caressée en pensant à toi… Si tu savais comme j’ai souffert quand tu as fréquenté Françoise… Elle était bonne au moins, tu l’as bien baisée ? Je ne réponds pas. — Excuse-moi, je suis conne. Elle est plus belle et plus jeune que moi, évidemment.— Je ne suis plus avec Françoise maintenant !— J’étais très jalouse… Tu dois me trouver stupide d’être ainsi amoureuse. Pour toi, je ne suis sans doute qu’un petit coup vite fait entre deux portes !— Tu dis des bêtises. Sa poitrine est secouée par les sanglots. Elle en a vraiment gros sur la patate. Je la ...
... trouve touchante de jalousie. C’est sûr qu’elle n’est pas belle, c’est certainement la pire des femmes avec qui j’ai jamais fait l’amour… Mais je ne peux m’empêcher d’avoir de l’affection pour elle, ce qui n’a pas toujours été le cas pour d’autres. Alors je la prends dans mes bras, je lui fais un gros câlin, pour essayer de la rassurer. Sous ses airs bourrus, c’est en fait un cœur tendre, une femme qui souffre, avec plein d’amour en elle. Je sais très bien que je ne ferai pas ma vie avec elle et elle le sait tout comme moi. Ce n’est qu’un petit épisode qui durera ce qu’il durera… le plus longtemps possible… Vivons-le pleinement. Le pire dans cette histoire, c’est que cette salope de Françoise, découvrant notre idylle (ça devait se voir comme un nez au milieu d’un visage), nous a taillé une sale réputation dans tout le quartier, probablement pour se venger de sa patronne. — Vous vous rendez compte, la mère Terraillon, elle se tape un petit jeune ! Les gens désormais regardaient parfois Marielle d’un autre œil, souvent avec un petit sourire en coin. Cela ne nous empêchait pas de nous retrouver régulièrement. Nous faisions l’amour souvent dans l’arrière-boutique et parfois, pour pimenter, dans la boutique. Par la suite j’ai arrêté de travailler pour me consacrer à mes exams. Mais ma maîtresse venait souvent l’après-midi me retrouver chez moi. Je crois qu’elle était tout ce qu’il y a de plus amoureuse. Nous aurions eu le même âge, nous nous serions même peut-être mariés (son mari ...