1. A la maison de retraite


    Datte: 15/07/2019, Catégories: fh, ff, hagé, oncletante, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral

    Quand on a 26 ans, on n’a pas toujours une idée très claire de ce qu’on veut faire dans la vie. Alors, on cherche, on tâtonne, avant de trouver sa voie. Florence en était là. Ravissante petite jeune fille brune, elle avait déjà exercé plusieurs petits boulots sans réellement parvenir à se fixer sur aucun. Chaque fois, ses employeurs l’auraient bien gardée, surtout que sa bonne humeur et sa gentillesse la faisait apprécier de tous, mais elle préférait invariablement partir, aller voir ailleurs, essayer autre chose. Trouverait-elle jamais une activité à son goût ? Cette question commençait à la turlupiner, mais ce n’était rien comparé à l’inquiétude de ses parents, qui auraient aimé qu’elle se fixe pour de bon, trouve un emploi stable, se marie et surtout puisse avoir des enfants. Finalement, c’est une de ses tantes, Suzanne, qui vint offrir à Florence une nouvelle opportunité, en lui proposant de venir travailler dans la maison de retraite dont elle était la gérante. Chacun espérait que, cette fois, cela fonctionnerait, durablement. Florence n’était pas particulièrement attirée par l’activité en elle-même. Comme on peut le comprendre, une maison de retraite était plutôt un lieu répulsif pour une jeune fille pleine de vie comme elle. Cependant, c’était surtout le fait de travailler pour sa tante qui l’intéressait. En effet, depuis son adolescence, tante Suzy était, sans que personne ne s’en fut jamais vraiment aperçu, en quelque sorte devenue son modèle. Il faut dire que ...
    ... Suzanne était un peu la rebelle de la famille. Contrairement à son frère, le père de Florence, elle s’était rapidement opposée à l’autorité morale de ses parents. Dans cette famille de la petite bourgeoisie, teintée d’un catholicisme rigide, l’ambiance était parfois assez pesante. Dès ses 18 ans, donc, Suzy avait quitté le foyer parental pour partir faire le tour du monde avec un aventurier qui avait à peu près le double de son âge. Cette histoire ne dura pas très longtemps, et elle revint rapidement au pays pour s’installer avec le fils d’une bonne famille, dans un quartier chic de la capitale. Elle en profita pour nouer des contacts avec des gens influents et fortunés, tout en consacrant l’essentiel de son temps à la peinture. Quelques années plus tard, redevenue célibataire, elle parvint à réunir quelques amis autour d’elle pour investir dans la création d’une maison de retraite dont elle prit la direction. Rapidement, le business apparut lucratif, et Suzanne acquit une situation sociale enviable. Surtout, au grand dam de ses parents, à quarante ans passés, elle refusait obstinément de se marier, préférant voguer d’aventure en aventure, plus ou moins durables. Pour Florence, comparée à celle de ses propres parents, la vie de sa tante ne semblait pas loin d’être romanesque et exerçait sur elle une indéniable fascination. Ainsi, même si elle n’avait jamais eu vraiment l’occasion de passer beaucoup de temps avec elle, elle aspirait à mieux la connaître. Travailler pour elle serait ...
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