A la maison de retraite
Datte: 15/07/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hagé,
oncletante,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... voix forte : — Alors, il paraît qu’on fait des misères à la p’tite ? Il haussa les épaule et retroussa sa lèvre supérieure : — C’est une petite cochonne…— Comment ça, c’est une cochonne ? Bizarrement, il regarda alors par la fenêtre, à l’opposée des deux femmes, et marmonna : — … des gros seins…— Je vois, dit Suzanne en levant les yeux au ciel, comme si elle s’attendait tout à fait à ce genre de situation. Elle se tourna aussitôt vers Florence et, d’un ton conciliant mais ferme, lui dit : — Montre-lui ta poitrine ! Un instant, Florence en eut le souffle coupé. Déjà, son cœur battait la chamade. Surtout, elle ne comprenait pas bien ce que venait de lui demander sa tante. Elle la regardait d’un air apeuré. Alors, Suzanne reprit : — Ça arrive à cet âge : il fait une fixation. Si tu lui montres tes seins, il sera content et il passera à autre chose.— Mais, Suzy…— Allons, allons, Florence, ne fais pas ta prude, on dirait ta grand-mère ! Ça fait partie de ton travail que de savoir te sacrifier parfois… et, pour te donner du courage, pense au petit plaisir que tu apporteras à ce pauvre vieux bougre ! Pendant que les deux femmes parlementaient entre elles, le vieux restait affalé sur son lit sans sembler comprendre tout ce qui se disait. En même temps, il tendait avidement les mains vers Florence, qu’il ne pouvait toutefois pas atteindre. Finalement, la jeune fille finit par s’incliner devant l’expérience de sa tante, non sans en ressentir aussitôt une certaine honte. Elle ôta ...
... alors sa blouse et la déposa sur une chaise. Ensuite, elle se rapprocha timidement du lit, tout en prenant soin de rester hors de portée du pensionnaire, et retira son débardeur. En haut, elle n’avait plus alors que son soutien-gorge en imprimés mauves, avec une petite bordure de dentelles. Le vieux la fixait sans piper mot. Muette, elle aussi, Florence regarda sa tante, qui l’encouragea d’un simple geste du menton. Alors, elle dégrafa son soutif, hésita un instant puis libéra enfin son opulente poitrine qui rebondit légèrement avant de se stabiliser dans l’air tiède. Elle avait de vraiment beaux seins : gros et bien ronds, ils se tenaient encore bien étant donné son jeune âge ! Ses aréoles étaient assez étroites mais d’un rose presque brun. Ses tétons étaient épais et cours, légèrement durcis pour la circonstance. Le vieux n’en revenait pas, il en prenait plein les pupilles. Florence baissait les yeux et Suzy couvait la scène d’un œil bienveillant, presque maternel. Une fois la première gêne légèrement passée, Florence releva le regard et vit le vieux qui la fixait. Il n’avait pas l’air bien méchant. Simplement, il la dévorait du regard, fasciné, un peu bêtement, comme un gamin, captivé par ses seins. Elle s’aperçut alors qu’elle ne l’avait jamais vraiment regardé. Il avait la peau toute fripée, des sourcils broussailleux et une mince couche de cheveux gris rejetés en arrière. Ses yeux étaient légèrement vitreux et mi-clos, sa bouche vaguement tordue. Elle trouva cette vision ...