A la maison de retraite
Datte: 15/07/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hagé,
oncletante,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... reprendre de plus en plus de vigueur, ne faisant finalement qu’aggraver le problème de Florence. Maintenant, elle parvenait à saisir certains mots qu’il marmonnait et qui ne laissaient guère de doute sur ses motivations : « Nichon… cochonne… cul… ». Elle ne savait pas bien s’il fallait en rire ou en pleurer. En l’espèce, ça la contrariait plus qu’autre chose. Il lui devenait en effet de plus en plus difficile de faire son boulot dans la chambre 124. Plus l’élocution du vieux s’améliorait et plus il en profitait pour lui tenir des propos salaces. Plus ses gestes se faisaient vifs et moins elle parvenait à les éviter. Au bout du compte, chaque jour, elle appréhendait le moment d’arriver à cette chambre devenue fatidique et y passait, de fait, le moins de temps possible, se contentant du strict minimum. En même temps, elle n’osait pas en parler autour d’elle, parce qu’elle s’imaginait qu’elle était sans doute la seule, en tant que petite débutante, à ne pas savoir gérer ce genre de situation. De toute façon, elle ne voyait pas comment en parler sans que ce soit gênant. Finalement, ce fut Suzanne qui, lors d’une inspection, s’aperçut des négligences de sa nièce dans la dite chambre, sans en connaître toutefois la cause. Elle décida aussitôt de la convoquer dans son bureau pour tirer ça au clair. Ça avait beau être sa tante, Florence n’était pas vraiment rassurée de se retrouver face à elle, dans ce contexte. Ce fut d’ailleurs assez sèchement que Suzanne lui demanda des ...
... explications. Au début, Florence se contenta de se tordre les doigts en regardant ses chaussures mais, sous l’insistance de sa tante, elle finit par lui raconter toute l’histoire. En l’écoutant, il lui sembla que Suzy avait esquissé un petit rictus, sans qu’elle puisse trop bien en saisir la signification. Elle resta d’ailleurs très froide pendant tout leur entretien. Elle avait un regard bleu-acier qui accompagnait assez bien son habituel petit air de supériorité : — Je vois. Ce sont des choses qui arrivent… Il est trop tard pour s’en occuper ce soir mais, demain, avant d’aller faire la chambre 124, tu passeras me chercher : nous réglerons ça ! Florence ne sut pas trop quoi en penser. En un sens, elle était soulagée que la chef prenne les choses en main et résolve son problème. D’un autre côté, n’aurait-elle pas du régler ça toute seule ? En fait, elle craignait surtout que sa tante ne la prenne pour une cruche, ce qui l’aurait fortement vexée. Le lendemain, ce fut donc accompagnée de sa tante que Florence se présenta à la porte de la chambre 124. La pièce était baignée d’une lumière blanche et crue de néon blanc. Suzanne lui emboîta le pas et verrouilla la porte derrière elle. Le pensionnaire de la 124 accueillit la jeune fille dans une éructation essoufflée : — Voilà ma petite cochonne. Elle répondit par un timide bonjour. Le vieux aperçut aussi la patronne. Il en fut surpris mais ne s’y attarda pas plus que ça. Suzy poussa alors Florence devant elle et s’adressa au vieux, d’une ...