1. A la maison de retraite


    Datte: 15/07/2019, Catégories: fh, ff, hagé, oncletante, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral

    ... l’occasion idéale, imaginait-elle. Naturellement, Suzanne refusa d’accorder un quelconque traitement de faveur à sa nièce qui dut donc commencer au bas de l’échelle, en tant que femme de chambre. Les débuts furent d’ailleurs difficiles. Non seulement le travail était physiquement éprouvant, mais c’était aussi moralement difficile à supporter. Il fallait composer avec des pensionnaires pas toujours aimables, et surtout, apprendre à s’habituer à cette proximité, inhabituelle pour une jeune fille, avec la maladie, et même, parfois, avec la mort. Pour ne rien arranger, même sa tante lui apparaissait différente dans le contexte professionnel. D’ailleurs, tous les employés la craignaient, non parce qu’elle était particulièrement odieuse, mais parce qu’elle exigeait toujours l’excellence de ses subordonnés. Elle avait l’image d’une femme juste mais dure. De fait, il lui arrivait même d’être sévère avec Florence. Plusieurs fois, la jeune fille songea à abandonner, surtout la première semaine, mais elle s’accrocha. Elle n’était pas du genre à se laisser faire. D’ailleurs, plus le temps passait et moins sa tâche lui semblait insurmontable. À dire vrai, c’était juste au moment où ce travail commençait presque à lui plaire qu’elle rencontra un autre genre de problème. Cela se passa avec le pensionnaire de la chambre 124, un vieux grabataire de 84 ans qui ne quittait plus que rarement son lit et qui, d’ailleurs, ces derniers mois, semblait lentement mais sûrement s’avancer vers la fin. ...
    ... Toutefois, depuis quelques jours, Florence avait noté un petit regain d’activité. Ce matin-là, lorsqu’elle entra dans la pièce, le vieux la regarda d’un air un peu hébété. Elle lui sourit en lui disant bonjour. Elle était toute mignonne, avec sa petite blouse blanche, ses longs cheveux bruns attachés un peu négligemment en chignon sur sa tête. Elle commença à s’affairer dans la chambre, lorsqu’il lui sembla que le vieux monsieur essayait de lui dire quelque chose. Sa voix n’était cependant qu’un souffle presque inaudible. Elle s’approcha, se pencha au-dessus du lit pour essayer de saisir le sens de ses mots. Et là, la main du grabataire vint soudain se plaquer sur son sein droit. Elle recula d’un pas, hésitant entre la surprise et l’effroi. Aussitôt, cependant, elle reprit ses esprits. C’était sans doute un de ces gestes brusques et involontaires auxquels les vieilles personnes sont parfois sujettes… Alors, elle continua sa besogne et n’y pensa plus. Les jours suivants, cependant, le même genre d’incident se répéta. En fait, elle ne pouvait plus s’approcher du lit de ce pensionnaire sans qu’il essaye de la toucher. En définitive, on pouvait même dire qu’il tentait véritablement de la tripoter, en particulier aux endroits que les hommes aiment à tripoter. Elle avait beau essayer de le raisonner, même lui faire des remontrances, rien n’y faisait. D’ailleurs, elle n’était même pas sûr que le vieux puisse la comprendre ou même l’entendre. Les jours passèrent et le vieux semblait ...
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