A la maison de retraite
Datte: 15/07/2019,
Catégories:
fh,
ff,
hagé,
oncletante,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
... plutôt rassurante et se détendit légèrement. Elle regarda Suzy comme pour savoir si elle faisait ce qu’il fallait. Le vieux recommença à tendre les bras vers la jeune fille, avec un air un peu désespéré. Suzy posa alors délicatement la main sur le dos de sa nièce et lui glissa à l’oreille : — Allons, approche-toi un peu. Florence se sentait dans un état vaguement hypnotique, tout en ayant parfaitement conscience de tout ce qui se passait. En tous cas, elle sentit nettement qu’elle n’avait pas les moyens de résister. Elle s’avança donc vers le lit, jusqu’à ce qu’une des mains du vieux prenne appui sur sa hanche. Puis elle se pencha légèrement en avant. Alors, le vieux se redressa dans un râle et plaqua ses mains sur chacun de ses seins voluptueux. Il était excessivement maigre, presque squelettique, et ses mains étaient toutes tendineuses, sèches, un peu râpeuses. Ça contrastait avec la peau lisse de Florence, ses seins lourds, son teint légèrement mat. Il les caressa d’abord un peu maladroitement puis les malaxa bientôt sans ménagement. Il était parcouru de petites secousses, on avait l’impression qu’il riait. Florence regardait ces mains fripées qui parcouraient sa poitrine et les yeux espiègles du vieux. Elle était proche du dégoût mais était en même temps animée par un certain sentiment de devoir. Les sensations qu’elle ressentait étaient contradictoires. Le vieux s’agitait de plus en plus, il s’inclina soudain sur le côté pour fourrer son nez entre les deux seins de la ...
... jeune fille. Dans le mouvement, il attrapa le téton droit entre ses lèvres sèches, sans que Florence n’ait eu le temps de réagir. C’est Suzanne qui la tira en arrière et calma les ardeurs du vieux bonhomme : — Allons, allons, papy, du calme : tu vas finir par te tuer… Et elle le repoussa sur son oreiller. Le vieux se radoucit un instant, puis reprit ses discours décousus : — Cochonne, c’est beau… c’est bon… le cul… le cul. Tout en pointant clairement du doigt le nouvel objet de sa convoitise. Ça fit sourire Suzanne : — Hé là, grand-père, il t’en faut toujours plus, c’est ça ? Lui, il faisait un peu une tête de chien battu : — Le cul… joli… le cul…— Et après, tu nous fous la paix, hein !? Le vieux n’approuva pas vraiment mais Suzy se retourna vers sa nièce : — Allez, montre-lui, ça lui fera plaisir et on sera débarrassé. Florence, qui était restée en retrait, torse nu, avait un peu froid. Elle regarda sa tante avec des yeux tout ronds : — Tu es sûre, Tatie ? Suzanne hocha la tête et cela devait suffire, semblait-il. Elle laissa à la jeune fille sa place au bord du lit. Toujours seins nus, Florence s’avança à portée de main du vieux. Il s’agrippa aussitôt à son jean, ce qui énerva la patronne : — Allons, tu es sage où ça s’arrête-là ! Du coup, le vieux reposa ses bras sur le lit. Il n’en fixait pas moins la petite jeunette qu’on lui donnait en spectacle. Florence défit donc les boutons de son jean, laissant apparaître le haut d’une petite culotte en coton toute simple, assortie ...