1. Un ! Deux ! Trois ! Soleil !


    Datte: 20/07/2019, Catégories: fhh, extracon, inconnu, vacances, hotel, caférestau, intermast, Oral pénétratio, double, fdanus, jeu, init,

    ... Non, vous n’y arriverez pas !— Tu sais très bien qu’on y arrivera. En plus, tu le souhaites, hypocrite ! Elle regarda Claude droit dans les yeux : — Oui, vous parviendrez à me mettre vos queues parce que vous êtes costauds, mais vous n’arriverez pas à me faire jouir !— Te faire jouir ? Mais c’est déjà fait, rit Claude. Elle fut allongée de force, les fesses près du bord du lit, les pieds par terre, toujours tenus par Claude. Sur le lit derrière elle, Michel, les genoux contre sa tête, ramena ses bras en arrière et les coinça dans une seule de ses mains. L’autre main vagabonda vers le visage, le cou et les seins de sa proie. Claude se releva à moitié en pliant les jambes de Sara qui les serra l’une contre l’autre. Claude assura : — On n’arrivera pas à te faire jouir ma toute douce ? Menteuse, tu en meurs d’envie… Sara répliqua du tac au tac : — Avant, vous m’avez eue par surprise ; pour ce coup-ci, ça ne marchera pas. Je vous mets au défi… Vous n’y arriverez pas… Claude était trop fort pour Sara. Il lâcha ses chevilles et passa ses deux mains entre les genoux serrés. Lentement, il lui ouvrit les cuisses et s’immisça entre elles. Sara vit cette queue raide et tendue s’approcher de sa chatte. Une queue dont sa bouche gardait un souvenir délicieux. Elle tenta encore de résister lorsque le gland luisant parvint à son but. Au-dessus d’elle, Michel allongea son bras libre vers la chatte de Sara. Il atteignit la fente et en écarta les lèvres avec deux doigts. Claude prit son membre ...
    ... dans la main droite et commença frotter le gland le long du sillon ouvert. Sara fondit. Elle ferma les yeux et son souffle se fit rauque. — Tu mouilles beaucoup trop pour ne pas vouloir jouir, ta chatte est déjà toute trempée, observa Claude. Ça va être un vrai bonheur pour ma bite… Sara eut conscience que son baroud d’honneur prenait fin. Elle n’attendit plus qu’une seule chose : le mouvement de rein qui pousserait le pieu de chair dans son ventre. Cela se fit d’un seul coup. Elle reçut l’engin comme une délivrance. Claude la dévasta. — Ah tu ne veux pas jouir, ma chérie ? Eh bien prends, prends ça ! Tiens ! Tiens ! Tiens ! Il la défonça à coups de boutoir amples et brutaux, son pubis cognant à chaque fois contre les fesses de Sara. Le plaisir qu’elle ressentit fut à la mesure de la violence de l’assaut. La queue allait et venait comme un marteau pilon. Ses jambes battirent l’air contre les épaules de son tortionnaire. — Ouvre encore ta chatte, baiseuse, ouvre-la bien ! Que je te casse le cul, haleta Claude. Sara obéit, déchirée, écartant encore ses cuisses, se donnant au maximum, soumise et domptée. Elle se retint de ne pas crier. Le bonheur de cette queue de béton la fulgurait. Elle agita sa tête de tous côtés. Ses doigts se crispaient et s’ouvraient sur le bras de Michel qui libéra ses mains et se plaça à côté d’elle. De l’une elle agrippa le drap, de l’autre elle saisit sa bite et la branla frénétiquement, avant de la prendre en bouche. Sara suça goulûment, en continuant ...
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