1. Un ! Deux ! Trois ! Soleil !


    Datte: 20/07/2019, Catégories: fhh, extracon, inconnu, vacances, hotel, caférestau, intermast, Oral pénétratio, double, fdanus, jeu, init,

    ... d’agiter son poignet. Michel tendit à nouveau le bras et, d’un doigt agile, excita son clitoris. Un gémissement monta de la gorge de Sara : ces deux salauds savaient la branler et la tringler. À deux : quatre mains, deux queues, rien que pour elle. Dans ses fantasmes les plus crus, elle n’aurait jamais imaginé que cela pût être bon à ce point-là. Pensée fugace noyée dans les vagues du plaisir : et trois ?…Un sexe dur dans sa chatte, un dans sa bouche, un dans sa paume… Et des mains partout, partout… Elle sentit qu’elle allait exploser et se crispa. — Tu aimes, n’est-ce pas, et tu ne veux pas jouir ? Il donna un coup de reins encore plus fort : — Jouis ! La giclée de sperme la crucifia contre la bite enfoncée au plus profond d’elle. Elle ouvrit et referma ses cuisses frénétiquement contre les hanches de Claude. Elle cria son plaisir, se démena en tous sens, puis se relâcha progressivement. Elle ressentit une immense frustration lorsque le membre durci l’abandonna. Le temps d’une seconde, car Michel prit la place de Claude et l’enfila sans attendre, l’agrippant aux hanches. Ce nouveau membre lui plut. Dur et vigoureux, actif sans être brutal. — Tu veux être limée à fond, toi. Tiens, Claude, branle-la pendant que je la tringle… Il allait et venait lentement, en mouvements amples et réguliers. Sara le regarda droit dans les yeux, en manière de défi, tandis qu’elle saisissait la queue de Claude pour la lécher du bout de la langue. Les traits de son visage se crispèrent lorsque ...
    ... Michel accéléra son mouvement, en réponse à son regard. Elle avala Claude et se mit à le sucer avec ferveur, pour lui rendre sa rigidité, mise à mal par l’éjaculation.. Elle sentit son excitation s’amplifier encore plus sous l’effet de la masturbation savante que Claude lui pratiquait du bout de l’index. Son souffle se raccourcit à nouveau. — Et tu ne voulais pas jouir, la nargua Michel. Tu es faite pour la bite. Un vrai plaisir de mettre la queue à une baiseuse comme toi. Ses coups de reins se firent plus rapides et plus forts. Elle sut qu’elle ne résisterait pas longtemps au va-et-vient du membre qui menait l’assaut dans sa chatte. Elle provoqua une dernière fois : — Salauuuud… Cette fois Michel la défonça comme un forcené. — T’aimes pas ça, dis… T’aimes pas ça ? Elle perdit la raison : — Siiiiiii… Ouiiiiii !… Encore… Encore… C’est booooooon ! Vas-y, mets-la à fond !— Dis que tu veux jouir ! Dis-le !— Ouiiiiiii… Je veux… Je veux… Jouir… Ouiii… Le sperme…!!!— Tu veux le jus ? Il faut le mériter ! Tu le veux dans la chatte ? Dis-le !— Ouiiiii, je veux le jus !… Gicle-moi le jus… Gicle-le… Salaud ! Son plaisir explosa lorsqu’elle sentit le liquide chaud envahir son ventre, accompagné de poussées encore plus brutales. — Ouiiii… Je… jouis !… Je jouis !… Salauds ! C’est booooon ! J’aime ta bite ! J’aime… Elle perdit la notion des choses. Claude et Michel l’embrassèrent tendrement. — C’était bon, Sara ?— Oui, vous avez été parfaits. Je vous dois des félicitations : vous baisez bien, ...