1. Ma tante de 45 ans est sublime (3)


    Datte: 23/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    Lundi (début août) 8 heures. Je descendis mes deux étages pour me retrouver au bureau ; plutôt pratique. J’avais salué les collègues et j’attendais impatiemment ma tante, qui avait pour habitude d’arriver pour 8 h 30. Elle occupait une place importante dans le groupe financier, étant chargée des relations clients avec l’Amérique du Sud. Pour ma part, mes tâches quotidiennes consistaient à faire des traductions comme dit auparavant ; je me trouvais une certaine aisance dans mon anglais depuis mon arrivée en juin. Nous étions début août et une nouvelle stagiaire me laissait croire que je ne lui étais pas indifférent. Mais bon... Moi de mon côté, j’étais occupé à autre chose. 8 h 30 ; ma tante arriva. Elle portait un petit ensemble veste et jupe en beige clair, avec des chaussures qui mettaient en valeur ses pieds, ou plutôt ses ongles parfaitement soignés. Je pense être "dérangé" comme la plupart de nos contemporains, mais il est vrai que je fantasme sur les pieds de ma tante. Nous nous fîmes la bise devant mes collègues, comme si de rien n’était. Elle me lança de manière inattendue : — Si tu as un moment, j’ai un problème de traduction avec un mot français. — Pas de problème ; je passerai avant midi, lui répondis-je. C’était pour ne pas attirer l’attention, bien que je n’avais qu’une envie : la rejoindre immédiatement. Sans être un maniaque de l’heure, je regardai ma montre : enfin midi ! Les collègues quittèrent les bureaux pour la pause vers la cantine, située au 10ème ...
    ... étage. Je rentrai dans son vaste bureau sans toquer. Chantal était au téléphone et me fit signe avec l’index d’approcher ; elle était fort séduisante dans le style femme d’affaires. Son bureau était grand, et sa fenêtre assez large donnait sur une vue implacable de la City. Elle raccrocha pour me dire comme un rêve : — Écoute, je vais te proposer une chose car j’ai bien réfléchi cette nuit. — Je t’écoute, Chantal. J’avoue que j’étais attentif à ce qu’elle allait me dire. — Nous sommes lundi ; Andrew va rentrer samedi prochain. Si tu es d’accord, pourrais-tu passer la semaine chez moi ? Seule, je ne suis guère rassurée ; et puis j’aimerais que l’on soit ensemble. Je la regardai de bas en haut ; elle sut très bien que je la dévisageais, et je m’entendis lui répondre : — Chantal, tu m’en vois ravi. — Tu pourras venir vers 19 heures. Puis elle se leva et vint me faire un baiser dans le cou. Elle prit mes mains pour les mettre sur ses hanches. Oh là là... Mon cœur se mit à battre à 100 à l’heure, et je commençai à descendre mes mains pour lui caresser les cuisses tout en approchant mes lèvres des siennes. En remontant sa jupe, je lui caressai ses fesses si douces et je m’attardai dans son entrejambe. Stupeur : elle n’avait pas mis de culotte ! Une joie intérieure s’empara de moi. Par cet acte délibéré de ma tante, j’eus la forte impression qu’elle se soumettait de bonne grâce à mes désirs du moment. Ma tante était pour ainsi dire nue sous sa jupe. Sur l’instant, ma joie se transforma ...
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