1. Ma tante de 45 ans est sublime (3)


    Datte: 23/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... entre les dents ou sur la bouche, je ne sais plus, pour étouffer son orgasme déferlant. Je jouis pleinement en elle. Encore un dernier coup de reins et j’entendis Chantal : — Oui, encore... Continue à me défoncer. — Tu aimes m’avoir en toi ? dis-je, épuisé. — Oooh oui... Si tu savais comme j’aime comment tu me prends ! Une merveille, cette femme qui était ma tante. Elle contint une nouvelle fois ses gémissements en mettant sa main devant la bouche... Mais la réalité nous rattrapa : des bruits dans le couloir se firent entendre. Je remontai mon pantalon ; Chantal prit la peine de s’essuyer. J’eus le temps de lui voler un baiser, et sortis de son bureau en lui disant : — Tatie, je passerai ce soir vers 19 heures. — Oui, Jean, s’il te plaît : vers 19 heures. Je croisai un type dans le couloir ; nous nous saluâmes puis, comme si de rien n’était, je me dirigeai vers la cantine. Ma tante me rejoignit. Je constatai qu’elle était légèrement décoiffée. Elle s’assit en face de moi, le visage lumineux, en m’adressant un sourire de complicité, mélange de tendresse et de désir apaisé. La satisfaction de ma tante d’avoir joui aussi intensément une nouvelle fois avec son neveu apparut dans sa manière de parler : — Jean, tu es complètement fou ! me dit-elle, tout en pensant le contraire. — Fou de toi, comme on dit ! dis-je en riant. — Oui : un peu folle de toi, avoua-t-elle. — C’est la première fois que tu le fais au travail ? — Évidemment ! Pour qui me prends-tu ? — Alors si c’est une ...
    ... première, c’est que tu deviens amoureuse ! apiaqqvo Ma tante esquissa un tendre sourire. Elle jubilait intérieurement d’avoir fait l’amour au travail et des derniers mots que je lui avais arrachés de sa pensée. Notre repas terminé, nous fîmes comme si de rien n’était. Nos promenades devinrent de plus en plus courtes pour ne pas attirer l’attention. Je revins la voir dans l’après-midi. Chantal était occupée au téléphone et me fit signe de sortir. N’écoutant rien, je m’approchai d’elle par derrière et lui fis un baiser dans le cou, endroit hautement érogène chez ma tante. Elle raccrocha en écourtant la conversation. Légèrement démaquillée depuis ce matin, ma tante n’en était pas pour le moins encore plus excitante. — Tu es follement sexy, ma Tatie, cet après-midi. — Ah non, tu ne vas pas recommencer... dit-elle d’une voix bien légère. Je sentis dans ses paroles un ton qui sonnait faux. Elle qui parlait de manière soutenue avait eu un ton désinvolte dans sa réponse, une réponse négative qui se voulait engageante, encourageante... Je regardai ma tante comme une friandise : l’idée de la bouffer une nouvelle fois fit son chemin. N’y tenant plus, je me plus à lui déboutonner son chemisier pour découvrir ses épaules charmantes. — Non, Jean, il ne faut pas recommencer : quelqu’un peut venir d’un moment à l’autre. Tu imagines... — Oui, j’imagine. — Mais tu n’écoutes pas, Jean... Je n’imaginais rien du tout et n’écoutais rien non plus. Au fond de son bureau, il y avait cette fameuse cloison ...