1. Ma tante de 45 ans est sublime (3)


    Datte: 23/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... en amertume : dans mon esprit, je la considérai comme une dévergondée, mais son sourire fut suffisant pour me rassurer ; ce fut un sourire de complicité et d’autosatisfaction. Chantal me montra ainsi qu’elle était capable de relever mes défis, même les plus audacieux. — Tu vois, mon neveu, tu as demandé poliment et je l’ai fait, dit-elle avec un large sourire coquin à souhait. Évidemment, ma réponse fut on ne peut plus claire : — Comme tu peux me plaire dans ta façon d’être ! Il était 12 h 05, et il ne fallait pas tarder vis à vis des collègues. Je l’embrassai vigoureusement et commençai à l’exciter. Visiblement, elle n’attendait que ça, et mes exploits d’hier lui étaient restés dans la tête. — Il faut y aller, Jean... Elle ne put finir sa phrase : j’avais soulevé sa jupe et je lui passais lentement ma main dans son entrecuisse ; ma tante mouillait comme une folle. Elle se laissa caresser, ressentant le plaisir monter en elle, inexorablement. D’une voix timide, elle me fit : — Non, il ne faut pas, Jean... — Je sais que tu en as envie. — Ouiiii, j’y pense depuis hier soir. Sans rien lui demander, je la plaquai contre son bureau et j’enlevai mon pantalon. Jambes écartées, je m’agenouillai et lui écartai son beau derrière. Je savais que Chantal aimait se faire doigter. Ma main glissa sous son chemisier pour lui caresser le ventre et de l’autre, j’introduisis mon majeur dans sa fente savoureuse. Rien qu’avec mon doigt, je sentis combien il m’aurait été facile de lui faire voir ...
    ... les étoiles. Ma tante ne broncha pas ; elle se laissa doigter par son neveu. Elle mouilla de plus belle quand j’entrepris de lui faire des baisers coquins dans sa nuque tout en étant collé contre elle. J’approchai mon sexe bien gonflé vers ses fesses nues et si douces et je la pénétrai d’une seule traite tant elle "m’attendait". Tandis je me sentais inondé du bonheur d’être en elle, Chantal se tenait à son bureau en susurrant : — Petit salaud ! Tu sais que j’aime, en plus... — Chut, Tatie, et laisse-toi faire. Je défonçais ma tante à grands coups de reins. Fesses à l’air, je rentrais langoureusement entre ses longues jambes et je donnais des coups secs lorsque j’étais bien au fond de son intimité. Elle se mit à gémir vigoureusement, surprise par ma précipitation inhabituelle de la prendre aussi vite. — Chantal... je veux t’entendre jouir ! — Ça ne va pas tarder, mon chéri. — Alors je continue ? lui dis-je, le souffle haletant. Ma tante ne prit pas le temps de répondre ; d’intempestifs gémissements se firent entendre de plus belle. Tout se mélangea dans ma tête : j’étais en train de baiser ma tante dans son bureau ! Mes coups de reins à répétition eurent raison de ma tante ; elle se cambra encore un peu mieux pour me sentir en elle. — Oh, comme j’aime quand tu me baises comme ça ! — Tu aimes, ma belle, hein ? — Oooh ouiiii... J’aime trop ! S’ensuivit une longue décharge de ma part ; que dis-je : un déferlement d’un plaisir brut, sauvage, voire primaire. Ma tante se prit la main ...