1. Ma tante de 45 ans est sublime (3)


    Datte: 23/07/2019, Catégories: Inceste / Tabou

    ... qui faisait office de couloir pour ses archives sans porte. Il y avait toujours ce tabouret pour consulter des documents, tabouret qui s’avérera bien utile pour la suite. Sans manifester un mot, je saisis ma tante pour l’amener dans cet endroit "secret". Ce que nous faisions était à haut risque, mais quand le risque prend part au plaisir, ce dernier n’est-il pas encore plus jouissif ? Tout en gardant mes chaussures, je retirai mon pantalon. Assis sur le dit tabouret, je soulevai la jupe de ma tante et "l’installai" sur moi, sans aucune réticence de sa part. Ma verge était au rendez-vous – ou au garde-à-vous – vu les circonstances ! Chantal avait changé de visage : elle me disait "oui" avec ses yeux de biche. Ma tante, à califourchon sur moi, dirigea mon sexe vers le sien d’une manière imprécise, emportée par sa fougue. Dans l’action, j’en avais profité pour lui ôter son soutien-gorge. Pressée par le temps, elle s’empala finalement carrément sur moi avec un soupir de soulagement. Une fois encore, j’avais vu juste dans la tonalité de sa réponse : Chantal avait encore envie de moi sur son lieu de travail. Lieu hautement symbolique pour briser un interdit de plus, comme le fait de s’accoupler avec le fils de sa sœur. Mon sexe retrouva la douce chaleur du bas ventre de ma chère tante. J’étais en elle, je la serrais contre moi, je sentais ses tétons bien durs, et surtout la moiteur de sa belle intimité... Ma tante donna le "tempo" en basculant son bassin. Comme elle était ...
    ... excitante, ma tante, cette grande blonde si bien foutue ! Elle contractait son vagin de temps à autre, ce qui me permettait de mieux sentir ma tante au fond de moi. La chaleur de son orifice devint contagieuse pour nous deux. Elle sentit que j’allais jouir, aussi elle s’approcha encore plus près de moi pour mieux m’embrasser. Chantal se mit à transpirer de bonheur, elle continua d’onduler du bassin, pour mon plus grand plaisir. Moi, sentant que j’allais m’exprimer en elle, la serrant de plus en plus et la tenant par la taille, je lui murmurai dans le creux de son oreille : — Je crois que je t’aime, Chantal... — Et moi donc, mon amour... Elle se crispa tout à coup et pencha sa tête en arrière. Pendant ce temps, je poussais des gémissements de plaisir intense. Je réalisai que j’avais pris le contrôle de son corps, aussi je la collai contre moi en pleine jouissance et continuai à la faire jouir à grand coups de boutoir dans son corps sublime. Je sentis Chantal au bord de l’orgasme, tant elle s’agrippait à moi, geste ultime d’une belle femelle se sentant prise au piège du plaisir par son mâle conquérant, moi ! — Défonce-moi, Jean ! Continue ! C’est trop bon... — Pas si fort, mon amour, on va nous entendre... Nos langues s’entremêlèrent. Elle avait fermé les yeux et je lui caressais ses fesses bien fermes à pleines mains. Je n’aime guère cette expression, mais je déchargeai avec violence toute ma semence dans le corps de ma tante. Je jouis en elle merveilleusement... Chantal colla ses ...