La Muse (17)
Datte: 25/07/2019,
Catégories:
Hétéro
... regard m’envoûtait. J’avais l’impression qu’il communiquait avec moi ; je ne pouvais ni détourner mon regard, ni parler. Une force invisible et irrésistible emmena mes mains vers les boutons de ma robe. Sans savoir pourquoi, j’ai commencé à défaire les boutons un à un sans quitter son regard tandis qu’il me fixait aussi. Je défis tous les boutons. Arrivée au dernier, j’ouvris ma robe, puis d’un geste lent je la fis couler au sol. J’étais entièrement nue devant lui. Il pouvait me toucher ; il ne le fit pas. Mes mains furent alors attirées par sa chemise que je caressai, puis un à un je défis les boutons ; il restait de marbre. Je découvris son torse recouvert d’une toison épaisse et douce. J’enserrai de mes bras ce torse en appuyant ma poitrine contre ses pectoraux, puis je réussis enfin à quitter son regard pour enfouir ma tête au creux de son épaule. Je le serrais fort, très fort. Je sentis ses mains chaudes se poser sur mon dos, se promener sur mes épaules, puis glisser le long de mon dos et descendre sur le haut de mes fesses ; c’était bon, je me sentais protégée. Puis il fit remonter ses mains, entoura mon torse et me serra très fort à son tour. Il serrait si fort que j’étouffais. Je me dégageai, et nos regards s’accrochèrent de nouveau. Je savais que dans peu de temps j’allais lui offrir mon corps. J’ai approché ma bouche de ses lèvres jusqu’à les toucher. Je les ai sucées doucement puis mouillées à coups de langue ; elles se sont ouvertes légèrement. Mon esprit ...
... divaguait : « Jen, tu es en train de te conduire comme une salope ; tu ne va pas te faire sauter par un vieux pervers ! Non, je suis sa muse et je vais offrir à lui, mon maître. » Cet homme, cet artiste souffrait et avait besoin de moi. Je comprenais tout le sens de ce qu’il m’avait dit auparavant : « Si tu veux partir, tu es libre. » Non, je ne pouvais pas partir, je ne pouvais pas le laisser ainsi. Je forçai sa bouche ; il accueillit ma langue. Je découvris une langue épaisse, puissante et délicieuse qui se mit à jouer avec la mienne. L’envie de faire l’amour venait en moi doucement, presque sournoisement, par petites touches. Entre nous, contre men ventre, je sentais son sexe grossir. Je fais glisser une main jusqu’à la ceinture de son pantalon. Il fallait que je m’écarte. Je quittai sa bouche, mais pas ses yeux. Je défis la boucle de sa ceinture, déboutonnai le pantalon et l’accompagnai dans sa descente vers le sol, puis je me suis relevée. Les yeux dans les yeux, toujours sans un mot, je me suis plaquée contre lui ; son sexe nu entre nous me parut épais. Il avait ses bras autour de moi ; je lui caressais le torse, puis mes mains sont descendues. D’une main, j’attrapai son sexe ; il était gros et long. De l’autre, j’ai pris ses bourses. Moi, je mouillais ; ma cyprine coulait entre mes jambes. Mes seins pointaient comme jamais, mon ventre me faisait mal ; une envie comme celle-là, je n’en encore jamais eue de semblable. Je me suis agenouillée et j’ai pris son membre ma bouche ; il ...