La Muse (17)
Datte: 25/07/2019,
Catégories:
Hétéro
... prit ma tête à pleines mains en entortillant ses doigts dans mes cheveux pour me masser le crâne. Je me relevai. Le regard à nouveau planté dans le sien, je le déshabillai en douceur ; il ne bougeait pas. Puis je lui pris la main et l’accompagnai jusqu’au canapé où il s’assit, nu. Pour la première fois je voyais cet homme entièrement nu ; il était beau, son corps me fascinait. Je n’avais jamais pensé qu’un jour je ferais l’amour avec un homme qui avait sans doute trois fois mon âge. Son érection faiblissait doucement ; pas question, je devais la réveiller ! Je l’ai alors sucé à nouveau. Rapidement, il reprit une belle vigueur, et même plus : ma main en faisait à peine le tour. Cette bite, il me la fallait, je voulais la sentir en moi. Je me suis assise à califourchon sur lui, et cette fois c’est moi qui plantai mon regard dans le sien, dominatrice, féline comme je sais le faire ; il allait être à moi ! Je me suis soulevée et son membre est entré en moi en douceur. Mon passage encore étroit s’ouvrit comme la corolle d’une fleur. Son membre remplissait mon vagin, je sentais son gland coulisser et frotter sur mon point G, provoquant en moi comme une décharge électrique amplifiant mon désir. Lui me tenait par les hanches ; à genoux, je montais et descendais, mes mains passant de mes seins à mes cheveux. Ma respiration devenait plus forte et mes doigts complètement fous dans mes cheveux. Quand l’orgasme est arrivé, j’ai fermé les yeux et me suis assise sur lui, voulant sentir son ...
... membre au plus profond de moi. Je jouissais en contractant mon vagin sur son sexe pour mieux le sentir ; mon ventre me faisait presque mal, ma tête me tournait : cet orgasme fut magique. Je me suis alors jetée sur sa bouche que j’ai dévorée avec une rare passion. Lui n’avait pas joui, alors je me suis assise à côté de lui ; la tête dans le creux de son bras sa main sur ma fesse, je le masturbais. Puis je me suis couchée sur lui, la tête sur son ventre et j’embouchai son membre, jouant avec ses testicules d’une main. Je guidai une de ses mains vers mon sexe par derrière ; il ne refusa pas. Je l’ai sucé et masturbé un long moment jusqu’à ce que je sente ses doigts entrer en moi et se contracter ; à ce moment-là, une puissante giclée de sperme arriva au fond de ma gorge. Je l’avalai immédiatement car je ne m’habituais toujours pas à ce goût. Nous sommes restés un long moment ainsi, nus sur le canapé, moi sa bite entre les mains et lui sa main sur ma fesse, sous le regard de la dame en peinture. Il se leva, me fit signe de ne pas bouger et sortit de la pièce ; je le voyais de dos, nu, corpulent certes mais pas gros ; ses fesses étaient rondes mais élégantes. Il me vint à l’esprit des réflexions de collégiennes sur les « vieux » dont elles se vantaient d’avoir, pour certaines, presque violés. Pauvres filles ! Vous n’avez jamais rien fait ni vu, vos histoires n’avaient aucun sens. En attendant, je regardais le tableau et je me suis levée pour le voir de plus près. Comme elle était ...