Promenade en Forêt (3)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... nuque. L’interdit de cet acte sexuel avec un animal renforçait, décuplait mon désir. Je me concentrai sur ces sensations, je voulais déguster ce moment tant attendu... Sur un mur du salon était fixé un miroir en pied, devant lequel je m’apprêtais le matin : en y jetant un regard, je vis ma croupe, dans la position indécente de la levrette, et le corps de Dick qui la chevauchait, me sautant comme une chienne en chaleur. Je me sentis partir. Mes couinements se muèrent en râles, puis en cris comme les assauts d’un premier orgasme me secoua les entrailles. Les vagues de plaisirs me parcoururent, en faiblissant lentement pendant que le chien continuait de me pilonner sans ralentir, et je sentis son nœud venir frapper ma vulve avec de plus en plus d’insistance comme il trouvait petit à petit la meilleure position pour me sauter. Je me relâchais au maximum. Je savais ce qui m’attendais, je m’y étais préparée, j’appelai cet instant de mes vœux même. Comme son nœud était plaqué contre ma vulve, et reculai soudain mon bassin et je sentis mes chairs s’élargir pour laisser le passage à cette boule de chair. Ca y était, son sexe était en moi jusqu’à la garde : Dick cessa de remuer son bassin, et son sexe fut parcouru de palpitations. La sensation de son nœud qui ...
... grossit encore, m’élargissant de l’intérieur, et la sensation de son sexe gonflé déversant son sperme dans mon ventre en l’entendant haleter comme jamais me firent un effet dévastateur : le deuxième orgasme monta en moi très vite, et me submergea. Je tremblais comme une feuille de plaisir, expirant en gémissant avant d’inspirer à fond pour recommencer. Nos deux corps ne faisaient plus qu’un, unis par un pur, immoral et sans complexe plaisir sexuel des plus instinctifs. Petit à petit, ma jouissance se calma. Je restai sans bouger, le vagin bourré comme jamais par cette queue et son nœud. Dick se retourna alors en passant une jambe par-dessus mes fesses, pour se tenir cul à cul avec moi, sa queue toujours verrouillée en moi ressortant entre ses pattes arrière. Au bout d’un moment, son nœud avait assez rétréci pour qu’il puisse se retirer, en s’en allant boire dans la cuisine. Dès que son sexe quitta ma chatte, un flot de sperme animal s’écoula de mon vagin sur la couverture. Je me relevai et retournai sous la douche pour me laver. J’avais fait jouir un cheval et un chien, et je n’éprouvais nulle honte, nul regret. Je me sentais fier : la reine des allumeuses d’animaux ! Et si j’étais physiquement vannée, dans ma tête je n’avais qu’une envie : recommencer.