Promenade en Forêt (3)
Datte: 02/08/2019,
Catégories:
Zoophilie,
... flattai et palpait en allongeant mes bras. Et sa jouissance puissante, bestiale... Ces évocations firent renaître en moi une excitation honteuse et bienvenue à la fois... Progressivement, une détermination se fit jour en mon esprit. Allai-je pouvoir « séduire » ce golden retriever qui m’attendait dans le salon comme je l’avais fait pour l’étalon ? J’étais toujours disposée à apporter toute l’aide que je pouvais pour permettre à ce chien perdu de retrouver ses maîtres, bien sûr. Mais s’il voulait bien que je lui donne du plaisir tant qu’il était avec moi, je n’allai pas l’en priver. J’avais déjà vu quelques vidéos et lus quelques textes sur le sujet du chien en tant que meilleur ami de la femme. Je me fis une joie de mettre ces connaissances théoriques en pratique. L’excitation sexuelle laissait tout juste assez de place dans ma conscience pour qu’une partie de moi-même m’observe avoir ces pensées, me disant en moi-même : « ban dis-donc, ma belle, te taper un cheval puis un gros chien... Tu es quand même une sacré salope ! » Je finis tout de même par sortir de ma douche, me laver les dents et me rhabiller. Dans le salon, mon chien trouvé était roulé en boule sur le tapis, dormant profondément. Le pauvre devait surement être bien fatigué. Je le contemplais un moment : c’était un bel animal, à poils mi longs, dans les tons fauve/marron. J’avais déjà remarqué qu’il avait l’air jeune : deux ou trois ans maximum. Il dormait paisiblement, comme en attestait sa respiration lente et ...
... régulière. « Qu’il se repose bien, le pauvre », pensais-je. « Il a l’air d’être une brave bête : il mérite qu’on lui donne beaucoup d’amour ». Je le laissai et sorti pour aller faire quelques courses : des croquettes et des friandises pour chien, quelques jouets aussi, un panier en tissu matelassé à sa taille, un collier et une laisse. J’achetais aussi un produit contre les puces et tiques, et quelques produits de bains pour chien. Jenny, la caissière de la superette que je connaissais bien, s’étonna de mes achats. — Tu as un chien maintenant ? » — En fait, j’en ai récupéré un dans le bois de Saint-Emile. Je pense qu’il a été abandonné, mais il a peut-être perdu. C’est un jeune golden retriever, si tu entends parler de quelqu’un qui le recherche, fais-le moi savoir ! » — J’adore les golden, ce sont de bons chiens... Oh comment peut-on abandonner un chien comme ça ? Ecoute je n’ai rien entendu mais ok, si jamais, je viendrais te le dire. En tout cas, je vois qu’avec toi, il va être chouchouté le chanceux.» — Oh oui, tu n’as pas idée ! J’adore apporter du bonheur aux animaux, moi !» Je prononçais ces mots en lui souriant malicieusement. — Ah oui ? Moi aussi, j’adore ça. » Après un moment d’hésitation elle dit : « C’est un point commun entre nous alors. » Elle poursuivit plus lentement en me regardant intensément « J’espère que tu récolteras de lui au moins autant de plaisir que tu lui donneras... » Elle utilisa le mot « plaisir, » et non « bonheur », et en appuyant légèrement ...