1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (9)


    Datte: 06/08/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Un mois plus tard, une certaine Alaine nous rejoint définitivement. Cependant, elle ne peut nous accompagner en Europe pour retrouver ma sœur et sa petite famille qui s’est agrandie d’une jolie petite fille. Il parait que je suis le parrain et Sidonie la marraine. Gisèle doit aussi rester, sur les conseils du médecin. Elle souffre toujours plus souvent de maux de ventre à la faire tordre de douleur. Même les médicaments n’arrivent pas toujours à clamer ses douleurs infernales. Je suis très inquiet. Dans l’avion, Sidonie pense que j’ai peur. J’ai peur, peur de voir partir notre Gisèle. Je sais, je me fais du mauvais sang, n’empêche que je suis et reste très inquiet malgré la présence d’Alaine près de Gisèle. Les deux femmes partagent plus que de l’amour, un lien invisible les unis plus sûr que le mariage, vous pouvez me croire. Paris enfin, un téléphone, Alaine me répond, les nouvelles ne sont ni bonnes ni mauvaises, état stationnaire dit le médecin. Paul est là avec mon neveu. Il peine à nous reconnaitre, seul le son de ma voix lui donne mon identité. C’est qu’il a grandi, le bougre. Dans son minibus, il nous emmène chez eux. Une nouvelle demeure depuis qu’il a décroché la timbale dans un ministère. Il parle même de nous rembourser l’héritage de nos parents. Je voudrais pouvoir lui dire nom, mais pour Gisèle, je me dois d’accepter. Surtout si elle doit subir une lourde intervention médicale. Il est au courant et joue avec ça, l’enfoiré. Mais bon, comme on dit, les bons ...
    ... comptes font les meilleurs amis. Wow la maison, un palace sur deux étages. De quoi loger une division entière enfin presque. La petite nièce nous est présentée, mignonne comme sa mère, rien à jeter. Et mon Isabelle est toujours aussi désirable. Une autre surprise nous attend, Charles et Martine et un petit bout de chou qui ressemble bien à ses parents, rien à redire avec ses yeux bleus comme sa mère. Il va faire des ravages plus tard, à n’en pas douter. Bref, après le coucher des enfants, dans le salon, on remet le couvert comme au bon vieux temps, chacun reprenant son rôle, Charles en toutou bien docile, mes petites épouses en dociles soubrettes. Pourtant, je n’arrive pas à prendre mon pied, je pense à Gisèle et ça me travaille. Je finis par monter me coucher, clôturant la partouze par la même occasion. C’est encore pire dans le lit, je tourne comme une hélice. Je n’en peux plus, au diable le décalage horaire, j’appelle depuis le salon. Sidonie me rejoint. Putain que ma sale gamine me manque dans ma tête. J’ai besoin de sa présence, de son réconfort. Sidonie n’a pas le mot, elle fait ce qu’elle peut et ça me calme légèrement. Alaine décroche enfin. Tout va bien qu’elle nous dit. Gisèle peut à nouveau manger normalement. Apaisé, je soulève Sidonie et la baise comme un malade une grande partie de la nuit, dans ce salon, à même le sol. On ne remonte qu’au chant du coq. Yvana dort profondément. Église, baptême, tout ce passe à merveille, quoi que la présence de prêtre me gêne, je ne ...
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