Un inconnue découvre un paria dans sa famille (9)
Datte: 06/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... vais partir loin de vous avec pour seul promesse qu’on se retrouvera chez elle, notre sale gamine. » « Gisèle ? » Je relève la tête, mais plus personne, plus de nuage, plus rien, le néant, que nos matelas sur le sol. Seul le plafonnier bouge un peu. Au fond de moi, je sais maintenant que je vais la revoir. La seule question, c’est quand ? La vie reprend lentement son cours. Nous répondons au courrier de condoléance à la main, chaque réponse est unique. Je me sens las comme tous autour de cette table. Une autre souffre autant que moi, Alaine. Je me sens si petit face à sa détresse. Je n’ai pas les mots pour lui dire ce que nous avons perdu. Je l’emmène dehors, près de cette barrière, cette fameuse. Je la serre contre moi, sa bouche se pose contre mon cou. Je lui chuchote que notre sale gamine est venue me voir avec Gisèle, qu’elle l’emmène chez elle la guérir et lui donner une vie nouvelle sans lui effacer sa mémoire. Nous nous embrassons. Même si elle fait semblant de me croire, mes mots ont touché son cœur. Les autres nous rejoignent, avec eux, nous formons une sorte de mêlée, bras sur les épaules de mes compagnes. Même Alicia se sent concernée, ce qui nous fait grand plaisir. Un an passe, la vie a repris son cours. Alaine est partie vivre sous d’autres cieux. Quand ses pas la guident par chez nous, elle vient recevoir sa fessée, nous abandonner son corps. Nous n’avons plus cherché de troisième compagne. S’il doit y en avoir, elle viendra toute seule, de son propre chef. ...
... Cela étant, si je me montre sévère, c’est pour leur plaisir à elles, mes épouses. Surtout quand nous sommes en ville. Elles adorent créer l’évènement, se faire voir comme mes soumises. Tenue légère de rigueur en tout temps, collier et laisse obligatoire. Sidonie conduit, Yvana est celle qui ouvre ma portière. Elles me suivent partout, oui, partout, même au petit coin comme mes gardes du corps. Sur moi, je ne fais plus rien, ce sont elle qui me font tout. Comme ce jour où un costume attira mon regard. Dans la boutique, pas une femme, que des hommes. Je n’ai eu qu’à montrer l’objet de mon désir et mes épouses, devant ces hommes médusés, firent le reste, me déshabillant, complètement, m’habillant lascivement. Le tout toujours accompagné de gestes gracieux autant qu’évocateur de désirs à peine voilés comme caresser ma bite, me faire bander. Dans leur robe, sans rien d’autre en dessous qu’un tout petit soutien-gorge, elles dévoilent leurs charmes à ses hommes. Si deux d’entre eux s’absentent, c’est pour revenir tout dégoulinant de transpiration, la cravate de travers. Et puis, une sale gamine est de retour. En manque de sévices, elle vient me subir une semaine entière. Tout y passe, des tâches les plus dégradantes à mes coups de queue dans son corps en passant par les supplices les plus douloureux, peu jouissifs. Elle aime ça, surtout que je revêts ma soutane de curé défroquer, dernier vêtement fait par les douces mains de Gisèle. Cette fois, c’est contre la croix qu’elle subit ma ...