Un inconnue découvre un paria dans sa famille (9)
Datte: 06/08/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... dernière trouvaille. Un gode, mon éternel joujou dans son fondement, il ne vibrera qu’après avoir fait jouir ma sale gamine par quelques électrochocs électriques, la repoussant encore dans ses limites. Elle est au bord de l’évanouissement quand les vibrations de mon joujou envahissent son corps. Mes deux épouses s’amusent à se fouetter l’une l’autre, à tour de rôle. Ma sale gamine hurle mon nom, puis sa voix change, devient grave. Ma sale gamine commence à dire des mots que nous ne comprenons pas, dans une langue inconnue de nous. Elle ne ressemble à rien de ce que nous connaissons. En tout cas, une chose est certaine, ma sale gamine venait de jouir dans un feu d’artifice rarement aussi explosif. Elle récupère, je vois son visage transformer, devenir plus jeune. Je fais venir mes épouses. Ma sale gamine n’est plus qu’une très jeune femme d’une petite vingtaine d’année. Son corps est entièrement différent, il ne porte plus aucun stigmate de mes punitions. Comme si un coup de gomme avait tout effacé, jusqu’à son âge. Sa voix, ma sale gamine nous parle et nous ne comprenons rien. Son sourire est moqueur devant nos têtes de déterré. « Je suis désolée de vous avoir fait peur. En fait de sale gamine, je suis Exora, je ne viens pas de votre planète. Gisèle pourrait vous en dire davantage. Mais elle ne pouvait pas faire le voyage. On est en train d’achever sa guérison complète. Mon curé adoré, il va y avoir un autre événement. Moi et les autres, nous n’y sommes pour rien, je peux te ...
... le promettre. Nous pouvons beaucoup, certes, mais il nous est parfois impossible de prédire ce qu’un humain peut penser et agir dans la seconde. La mauvaise nouvelle est en route, cela s’est produit il y a deux heures. Comme toi, je l’apprends maintenant. C’est Paul, il est décédé. Il s’est pendu à son travail. Je suis désolée mon curé. Pour toi aussi ma belle Sidonie. » Le téléphone sonne, c’est le frère de Paul. Tout ce que disait Exora était vrai. Je suis effondré, Sidonie et moi, enlacés, nous pleurons ce grand malheur. « Exora, si tu en as les moyens, emporte nous chez ma sœur au plus vite. Il n’y a que toi qui puisses nous aider. » Elle secoua lentement la tête négativement. La tête baissée, elle m’explique qu’elle ne peut pas. Par contre elle peut agir autrement. J’avais à peine reposé le combiné que le téléphone sonne à nouveau. Une voix me dit que le député nous met son avion particulier à disposition. Une bonne heure plus tard, un petit bagage à la main, nous décollions en trombe. Exora et Yvana étaient du voyage. Au matin, en Europe, nous atterrissions. Le frère de Paul était là avec un minibus. Nous ne nous étions vu qu’une fois, lors du baptême de ma nièce, il y a un an. On avait fraternisé, apparemment, Paul l’avait mis au parfum sur nous et nos mœurs étranges, brrr. Dans la maison de ma sœur, c’est le silence. Quand elle s’avance vers moi, c’est à peine si je la reconnais. Elle nous enlace, Sidonie et moi. Devant le cercueil, c’est encore pire. Ma sœur tombe à ...