1. Une idée fixe redoutable


    Datte: 10/08/2019, Catégories: fh, hagé, fagée, couple, extracon, Collègues / Travail laid(e)s, bain, hotel, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral amourdura,

    ... tenues transparentes, ou encore en faire apprécier la carnation grâce à des décolletés audacieux qui parfois en montraient plus que je ne le pensais. Ces jeux gentiment exhibitionnistes qui titillaient mon mari, qui ne me dérangeaient pas outre mesure lorsque je m’en apercevais (jamais je n’ai dit : « Oups ! »), ces friponneries que j’affectionnais, m’étaient à présent interdits. Fabrice raconte Je marque un temps d’arrêt. Je ne sais plus quoi dire pendant que dans ma tête mille choses s’entrechoquent. Julie me dit : — Je t’avais dit que tu serais déçu.— C’est donc pour cela…— Fabrice, je t’en supplie. Je sais que cette pitoyable image t’a passé l’envie de faire l’amour avec moi ; pourtant, je ne te demande pas l’impossible : je ne suis plus vraiment une femme, mais je voudrais que nous dormions dans ce lit, sagement, l’un à côté de l’autre, comme frère et sœur.— Tu n’y penses pas, ma chérie ; je ne vais pas quitter la bataille alors que je suis si près du but !— Que veux-tu dire ?— Je veux dire, pour reprendre tes propres paroles, que je vais te baiser.— Tu n’es pas dégoûté par mes lolos qui n’existent plus ?— Te rappelles-tu qu’il n’y a pas que tes nichons que j’aimais caresser ? J’adorais masser ton mont de Vénus, et je compte bien aller un peu plus loin dans mes investigations et découvrir chez toi d’autres beautés. Je veux partir à la découverte de tes sources de plaisir.— Tu me trouves encore désirable ?— Toujours autant. Que tu aies des seins ou que tu n’en aies ...
    ... pas, tu es toujours ma Julie. Julie raconte Sans me laisser le temps de réagir, il retrousse ma nuisette, me dénudant les jambes et le bassin. Il vient tout près de ma toison pubienne et commence à me masser, là même où il posait la main il y a vingt-cinq ans de cela. Il fait ce mouvement avec douceur et tendresse. L’attouchement par lui-même n’a pas grand-chose d’érotique, même si la zone effleurée est très proche de mon sexe ; cependant, le plus troublant, c’est la proximité de son visage au bord de mon minou. Je sens sa respiration, et son regard doit certainement se porter sur ma fente. Je me connais assez pour savoir que mes lèvres doivent s’ouvrir naturellement, que mes petites lèvres s’échappent de ma fente. Je sais que ma vulve, sous l’effet de l’excitation, a tendance à palpiter ; elle s’entrebâille et se referme par spasmes. Justement, le visage de Fabrice vient se placer entre mes jambes. J’ouvre les cuisses pour lui laisser libre accès à mon intimité. Je me laisse aller, oubliant toute retenue, ne désirant qu’une chose : qu’il me baise, qu’il me fasse jouir. Je suis en manque depuis trop longtemps et je veux qu’on me baise. Fabrice, l’amant de mon adolescence, m’offre cette possibilité. J’ai toujours aimé lorsque mon mari me faisait un « cunni », au temps où nous faisions encore l’amour. Même si mes nichons étaient pour moi une source de plaisirs intarissables et inénarrables, je ne dédaignais pas les jouissances issues de mes muqueuses intimes. Cependant, je ...
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