Une idée fixe redoutable
Datte: 10/08/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
laid(e)s,
bain,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
amourdura,
... dans l’eau. Fabrice est tout de suite venu à mon secours : — Ça va Julie ? Tu ne t’es pas fait mal ?— Non, non, ça va. Et lui aussi a perdu l’équilibre, et « plouf ! », il est tombé dans l’eau. Il s’est relevé et m’a aidée à regagner la berge. Nous étions tous les deux trempés. Fabrice m’a dit : — Si nous gardons nos vêtements, ils ne sécheront jamais.— Comment on va faire ? demandai-je un peu niaisement en constatant que ma culotte, sous l’effet de l’eau, était devenue translucide, presque transparente et laissait clairement voir ma toison pubienne. De même, son bermuda blanc moulait parfaitement son membre viril. Cette soudaine nudité m’a troublée.— Bah, moi, dit Fabrice, je me déshabille en tout cas. Incrédule, je l’ai regardé faire. Sans se soucier de moi, il a quitté son caleçon. C’est la première fois que je le voyais nu si nettement. Il avait descendu son dernier vêtement sans même me tourner le dos, si bien que je vis son phallus sans détourner le visage. — Alors, que fais-tu ? me demanda-t-il avec un sourire narquois sans dissimuler sa nudité. Tu vas rester trempée.— OK, je vais enlever ma culotte, mais tu me promets de ne pas en profiter.— Julie, tu me connais suffisamment pour savoir que je ne vais pas te violer, même si tu es nue devant moi. Je sais me tenir.— Oui, mais comme tu es nu aussi…— N’aie aucune crainte.— Tu ne me touches pas non plus.— Je te le jure. J’enlevai donc le dernier vêtement qui masquait mon sexe. Je devais être rouge comme une pivoine. ...
... Puis, timidement, je m’allongeai sur la berge. — Tu es très belle, ma chérie. Pourquoi relèves-tu ta jambe ainsi ? Laisse-moi voir ton buisson qui est mignon comme tout. Je m’exécutai et trouvai tout à la fois une indicible gêne et une certaine satisfaction à ce qu’il me regarde ainsi dans ma nudité intégrale en pleine lumière. Le malaise des premiers instants se mua en un plaisir que j’avais du mal à analyser. — Toi aussi, Fabrice, tu es beau, dis-je timidement. Je ne t’avais jamais vu ainsi.— Je suis heureux que mon sexe ne t’effraie pas. Peut-être un jour accepteras-tu de le cajoler comme je cajole tes nichons et ton abricot. Je vis que son membre grossissait et commençait à prendre des proportions que je trouvai inquiétantes. — Tu m’as promis de ne pas en profiter.— Mais je n’en profite pas, ma chérie. Tu ne peux pourtant pas m’interdire de bander ; c’est un phénomène naturel. Comment la trouves-tu, ma verge, lorsqu’elle se joue de l’attraction terrestre ?— Impressionnante. Mais ce n’est pas aujourd’hui que je vais te toucher le machin.— Cela viendra, ma chérie. Je ne te force pas. Regarde-la tout de même ; elle n’est pas énorme peut-être, mais elle est prête à l’usage et je suis assez fier, je dois l’avouer, d’avoir le gland décalotté en permanence, presque comme si j’étais circoncis. Il voulut m’embrasser. Lorsque je sentis son sexe le long de ma cuisse, je le repoussai gentiment. — Non, non, je t’en prie…— Alors donne-moi la main. Juste ta main. Je te promets de ne rien ...