Une idée fixe redoutable
Datte: 10/08/2019,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
laid(e)s,
bain,
hotel,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
amourdura,
... tenter qui pourrait te déplaire. Je ne la poserai pas sur ma tige, même si elle bande pour toi, la gourgandine. Il a pris ma main et c’est ainsi, allongés l’un près de l’autre, que nous avons passé de délicieuses minutes que je trouvai pleines d’érotisme, partagée entre crainte et excitation. Pourtant, il n’y avait rien de sexuel dans notre attitude, d’autant plus que la verge de Fabrice se montra rapidement beaucoup moins conquérante. Je ne disais rien, mais je ne la quittais pas des yeux. Elle perdit de sa raideur et vint reposer sur le ventre de mon amant, laissant bien voir ses bourses couvertes de poils. En moi, le désir prenait naissance. J’en venais à souhaiter que Fabrice ne tienne pas compte de mes rebuffades et qu’il vienne contre moi, qu’il me caresse, qu’il place ma main – qu’il tenait – sur sa queue. Je pensais si fort à tout cela qu’il aurait pu le comprendre s’il l’avait voulu. Mais le sexe de la femme a cela de particulier qu’il est moins « démonstratif » que celui de l’homme. Certes, les pointes de mes seins étaient outrageusement érigées, mais l’eau froide y était pour beaucoup. Quant à ma vulve qui s’ouvrait, il ne pouvait pas la voir puisque je gardais les jambes bien serrées. Il ne tenta rien. Cependant je me disais qu’un jour, prochainement, j’accepterais de caresser sa verge qui, somme toute, m’attirait, que j’aurais suffisamment d’audace pour y déposer un baiser. Puis je lui offrirais ma virginité. J’étais persuadée que Fabrice était le garçon à ...
... qui je donnerais ma virginité. Deux jours plus tard, je devais le retrouver au même endroit près de la rivière. Il n’est pas venu. Je ne le vis pas non plus le lendemain. Je suis passée devant chez lui. La maison était fermée. Fabrice avait disparu. Il ne me restait plus rien de l’être aimé, si ce n’est les souvenirs de moments qui avaient contribué à mon bonheur et qui étaient à présent douloureux. Je revenais sans cesse sur les lieux où Fabrice et moi avions vécu notre amour, de ce que nous avions pu nous dire, ce que nous avions pu faire. Le moindre sourire, la moindre parole, le plus bref des regards revenaient à ma mémoire. Et la chose la plus prégnante était la souvenance de nos baisers et de ses caresses sur mon corps à présent abandonné. Fabrice raconte Je me suis absenté le temps d’une journée ; c’est ce que je prévoyais. Cependant, contre ma volonté, elle se mua en un éloignement de près de trois ans. C’est une sombre histoire qu’il n’est pas nécessaire de raconter ici. Je n’osais écrire à Julie, craignant que son courrier soit ouvert par ses parents. Lorsque je revins, Julie avait disparu. D’un seul coup tout s’arrêtait. N’avais-je pas été assez entreprenant ? Se serait-elle livrée plus facilement si je l’avais harcelée ? Je coupai tout lien avec les années que j’avais passées dans la région. Bien des choses se sont passées dans ma vie depuis lors. J’ai connu plusieurs femmes, je me suis marié. Une jolie poupée un rien espiègle à qui je n’avais pas grand-chose à ...