1. Gwendoline, le loup-garou et moi (4)


    Datte: 20/08/2019, Catégories: Zoophilie,

    La douleur fut énorme mais rien n’y fit, j’étais trop crispée, la rondelle pas assez dilatée. La queue ne put me forcer. — Viens troncher cette pute Ita. Ma bite est moins large. J’essaie de te l’élargir ce trou, et ensuite tu te la ramones. — Merci dit Ita, mais rien ne me procure plus de plaisir que de péter un pucelage. — Comme tu veux... — D’ailleurs, dis-je, je ne suis pas pucelle. J’ai un manque d’habitude sur la sodomie, c’est tout... et puis ce calibre-là... — Alors si tu n’es pas pucelle du cul, elle va rentrer ma grosse bite, elle va rentrer. — Et si on se mettait en 69, ça aiderait, proposa Gwen. Ainsi fut fait. Gwen se mit donc sur le dos, le cul au bord de la table. Elle releva ses fesses. Je m’allongeai sur elle pour qu’elle me broute le minou et Ita, en bouledogue se mit au-dessus de ma croupe prêt à l’enfiler. Le torse de Maxime m’empêchait de passer la tête pour sucer le minou de ma consœur mais, de temps en temps, Maxime retirait sa verge du trou et je me penchai pour lui bouffer tout l’entrejambe. Il se reculait encore un peu et j’introduisais ma langue dans l’anus grand ouvert ou bien j’aspirais le clitoris. Ita pressait toujours sur ma rondelle qui ne cédait pas. Gwen mangeait ma chatte, ou les grosses couilles du japonais ou lui léchait la bite quand il relâchait la pression et prenait du recul. Mais Sésame ne s’ouvrait pas. Alors il se masturba violemment pour couvrir mon trou de jus. Il en pleuvait tellement qu’il ruisselait sur ma vulve. J’entendis ...
    ... Gwendoline se délecter de ce qui coulait directement dans sa bouche avant que, n’y tenant plus, elle vienne directement me lécher avec la même gloutonnerie qu’une gamine mettant ses doigts dans le pot de confiture. — Bouffe pas tout gourmande, mets plutôt tes doigts dedans et lubrifie-lui le trou que je l’écarte enfin cette chienne ! Après quelques contorsions, elle réussit à m’introduire deux doigts, puis trois, pour me lubrifier. Mais trois doigts, cela n’approchait pas la taille du formidable gourdin qu’on se proposait d’y glisser et que j’attendais avec une chaude espérance. La préparation risquait d’être insuffisante pour le but qu’on se proposait d’atteindre avec une certaine candeur. Las, le sperme n’est point un assez bon lubrifiant et rien ne passa que l’extrémité du gland. Je me maudissais d’être partie, sous le coup de la déception de Gwendoline qui nous avait tant occupé l’esprit, en oubliant de prendre du gel. Je craignais aussi de décevoir mon si solide compagnon pour lequel je me prenais d’un attachement de plus en plus vif à mesure que mon désir augmentait avec la frustration. Je ne désirais rien tant que de le satisfaire dans le but de l’attacher durablement à nos personnes. Il m’entendit, lut dans mon cerveau et, d’un bond, fut dehors, en disant : "Je r’viens dans deux minutes" ! Je pensais bien qu’il était allé chercher du gel mais je voyais mal quelle pharmacie de campagne voudrait ouvrir sa porte à une heure du matin à un loup-garou désirant urgemment un ...
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