1. Gwendoline, le loup-garou et moi (4)


    Datte: 20/08/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... tube de lubrifiant pour soulager un fion en détresse. Et puis comment paierait-il ? Le pharmacien risquait d’être soupçonneux... s’il n’était pas au sens propre mort de trouille en voyant son drôle de client. Je me posais ces questions tout en suçant gloutonnement les tétons de Maxime qui bitait Gwen à couilles rabattues, histoire de tuer le temps. Mais j’eus peu à attendre. Mon formidable amant rappliqua en moins de temps qu’il en faut pour le dire. — Il fut une époque, fit-il remarquer, où c’était le petit chaperon rouge qui allait chercher un pot de beurre et pas le grand méchant loup ! Faut tout faire soi-même ! — Tu as ramené du beurre ? — Pour te graisser le cul ma belle... comme au petit chaperon rouge. On ne l’a pas mangée cette petite sotte. On l’a déflorée, la garce, et elle aimait la bite je peux vous le dire... Les chasseurs ont pu s’en rendre compte par la suite... et je ne parle pas de la mémé... une vraie chaudasse... il est vrai que pour elle, les occasions étaient rares... enfin ce n’est pas tout à fait du beurre. Il y a quelques fermes dans la région... donc de la crème à vache... ça marche bien pour les trayons... C’est quoi un trayon à par un pénis mou qui crache du lait ? Et moi j’en ai un gros tout tendu qui produit aussi de la belle liqueur blanche. Aller ! Amène ton trou ! Je pris donc le pot, et m’appliquai fébrilement une forte motte de "gel" sur la rondelle. J’en graissai ensuite le dard et à dada ! Je fis comme j’avais fait pour ma chatte. ...
    ... J’allongeai le loup-garou du Japon à même le sol, le priai d’écarter mes fesses des ses mains puissantes... ouille, sans me griffer grosse brute !et commençai à m’empaler... mais vu le machin, cela revenait à un fist. Ce fut douloureux, long, laborieux, difficile, ardu... Tout ce que l’on voudra, mais enfin il entra. — Putain dit Maxime, c’est vrai qu’on n’a jamais vu un cul autant dilaté ! — A moi, à moi, à moi trépignait Gwen ! J’veux ce gros chibre dans le cul ! — Tu l’auras à ton tour. Profite déjà de l’autre zob ! Il fallait quand même s’y habituer parce que, une fois fichée dessus, à chaque fois que je coulissai un peu, c’est comme si je m’étais mis un charbon ardent entre les fesses. Mon chéri fut patient. Il me laissa le temps indispensable à la bonne conformation de la rondelle autour du chibre. Plus la douleur s’apaisait, plus je bougeai, la réveillant chaque fois, mais moins vive, de plus en plus supportable, et finalement si légère qu’elle en devint désirable. Quand je fus enfin prête, il me retourna comme une crêpe et me saboula sans ménagement. Puis il se mit debout, me soutenant les jambes pour que je ne touche pas terre et me fit aller et venir sur sa tige comme si je n’avais pas pesé plus qu’une plume. Puis enfin, il m’enleva tout à fait. La queue sortit tout entière de mon cul avant qu’il l’y replonge violemment d’un coup sec. J’avais l’impression qu’il allait me déchirer le rectum mais je m’y fis bien vite avec un putain d’orgasme géant. Il m’enfoutra à grands ...