1. Gwendoline, le loup-garou et moi (4)


    Datte: 20/08/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... poitrine et mes bras peinant à enserrer son dos formidable. Les queues, chacune dans son orifice, étaient si grosses et se touchaient tellement que j’eus l’impression de ne plus avoir de paroi mais un seul trou rempli à éclater. Les éjaculations se succédaient les unes aux autres à un rythme que seuls les garçons calculaient en fonction de leur plaisir ou des signes d’orgasme imminent que je leur donnai et qu’ils hâtaient ainsi. Je crus mourir d’épuisement au cours de ce marathon sexuel au terme duquel, couchée nue dans le canapé ou ce qu’il en restait, près de ma copine, je m’endormis. Une lueur blafarde éclairait l’horizon quand je me réveillai. La nuit était passée. Gwen somnolait encore. Maxime s’était enfui comme les fois précédentes. Assis en face de moi dans un fauteuil, complètement nu, un homme petit mais musclé, aux traits asiatiques, au poil très noir et fourni, à la queue courte mais très épaisse posée sur ses gros pompons ronds, dormait confiant. Je m’approchai, me mis à genou, contemplai son visage encore jeune et très beau, humait fortement l’odeur animale qui imprégnait ma peau et me souvenir de sa métamorphose nocturne et sans le réveiller, lui dis à voix très basse : "Bonjour Monsieur Ita... il faut vraiment que Gwen et moi trouvions cette vierge grâce laquelle vous pourrez vous transformer à volonté... oui il le faut vraiment... alors nous ne nous quitterons plus". Puis, je posai délicatement ma langue sur l’épais prépuce, le léchai très lentement en tournant plusieurs fois autour et en le frôlant à peine... Je m’emplis les narines de l’arôme qui s’en dégageait, le plus enivrant des parfums, le plus précieux aussi... puis j’avalai cette queue, la pompai patiemment jusqu’à ce qu’elle grossisse en moi, au moment où une main d’homme se posait sur ma tête dans un geste ferme mes amoureux. A suivre
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