1. Gwendoline, le loup-garou et moi (4)


    Datte: 20/08/2019, Catégories: Zoophilie,

    ... jets, me remplissant le cul à ras bord comme une barrique. Alors il changea de place avec Maxime et le même jeu recommença. Seulement, comme Gwen n’avait pas encore reçu son mandrin dans le cul et malgré la belle proportion de celui de Maxime qui venait pourtant de bien la déglinguée, l’intromission d’Ita fut douloureuse. Le cri fut perçant. Ita s’arrêta net. — Non, non, ça fait mal, mais c’est bon... continue. Vas-y mon grand loup, casse-moi mon p’tit cul. Elargis-moi l’élastique... pine-moi, pine-moi, pine-moi ! La capacité des mâles à découiller indéfiniment eut rapidement raison de notre résistance. Nous étions exténuées, incapables d’en supporter davantage. — On ne va tout de même pas capituler avant une double ? — Merci Ita, mais les deux dans le cul à la fois, c’est pas possible. Vous allez nous envoyer à l’hôpital. — OK, mais cul et chatte... chacune son tour... ça va permettre à l’autre de se refaire. — Oh oui oh oui oh oui, moi moi moi... Gwen s’était immédiatement portée volontaire. La différence de taille entre les deux monstres rendait compliquée la prise en sandwich debout, mais rien ne s’y opposait allongée. Maxime assis dans le canapé, Gwen empalée par les fesses offrant sa chatte à Ita, tout fut disposé en un instant. La musculature des deux bêtes faisait presque disparaitre ma copine entre leurs deux corps, comme broyée dans un formidable étau sexuel. Je vis bientôt que nous perdrions notre caution et qu’il faudrait racheter un canapé neuf pour les ...
    ... propriétaires du gîte. Il ne survécut pas aux litres de foutre qu’il reçut ni à la violence des coups. eueqqry Ita bouffait les seins qui disparaissaient dans sa gueule, Il n’aurait fallu qu’un coup de dent pour qu’il les arrache. C’était impressionnant, pas autant cependant que lorsqu’elle lui roulait une gamelle. Il aurait pu lui broyer la mâchoire. Il faut dire que la langue de nos compères est un extraordinaire joujou sexuel; longue, mobile, râpeuse, elle excite tous les replis du corps de la moindre parcelle de derme aux amygdales et jusqu’ à l’intimité de la vulve. Il salivait presque autant qu’il jutait. Le mélange salive, sueur, sperme, parfumait la pièce d’une forte odeur de rut, pire que dans un club échangiste à une heure du matin. Moi, je me contentais de lécher les boules en me prenant de temps en temps un violent coup de cul dans la tête quand l’animal se retirait plus brusquement et plus loin pour mieux reprendre son élan. Jamais orgasme ne fut plus puissant et, au moment suprême, elle replia ses jambes le plus qu’elle pût autour du corps du mâle qui la recouvrait et laboura son dos de ses ongles. Si la chair du loup-garou n’avait été aussi épaisse, elle l’eut écorché vif. Brisée, à la limite de l’évanouissement, telle une poupée de chiffon, Gwen s’effondra sur le sol quand ils la libérèrent avant de me faire subir le même sort, en inversant les rôles. Ita en dessous dans mon cul et Maxime me couvrant de tout son long et de tout son poids, ma tête disparaissant dans sa ...