Vertiges
Datte: 23/06/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
fépilée,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
pénétratio,
initiatiq,
fsoumisah,
Résumé de l’épisode précédent :Marie, jeune étudiante un peu fantasque, tout juste arrivée à Paris a rencontré Anton dont elle est tombée immédiatement amoureuse. Bien qu’un peu timide, elle finit par l’aborder au cours d’une soirée étudiante. Anton, qui est peintre, lui propose de poser pour lui. La séance ne se passe pas exactement comme l’aurait imaginé Marie, mais elle se rattrape aux branches comme elle le peut et déclare son amour à Anton. Des années plus tard, Marie pouvait se remémorer chaque détail des instants qui suivirent. Ils s’étaient embrassés. L’odeur d’Anton, et son étreinte l’avaient transportée. Elle avait pressé ses seins, son ventre, ses cuisses contre lui dans une supplique muette. Anton l’avait déshabillée fébrilement. Il avait arraché sa robe trop longue à déboutonner. Elle s’était donnée à lui avec empressement, et ils avaient fait l’amour dans le jardin, sur la terre humide et odorante. Marie se souvenait du poids d’Anton sur elle, après leur étreinte, de ses cheveux bouclés qu’elle caressait doucement, de son odeur de cigarette et de sueur légèrement acide et du bonheur calme qui l’emplissait toute entière, tandis qu’il s’abandonnait dans ses bras. Anton l’embrassait. Il lui murmurait à l’oreille. Quoi au juste ? Elle ne savait trop. Elle écoutait le son de sa voix un peu rauque et offrait son corps à toutes ses caresses. Il lui caressait les hanches. Il promenait son visage dans son cou, sur ses épaules. Il s’approcha de ses seins qu’elle lui ...
... présentait. Il s’accouda à ses côtés et les caressa doucement, s’attardant sur les aréoles puis les reprenant à pleine mains. Son sexe long et épais reposait sur son aine. Marie étendit la main et le caressa doucement. Elle le sentit durcir rapidement dans sa main et fut à nouveau submergée de désir. — Prends-moi encore murmura-t-elle d’une voix étranglée, en lui présentant sa croupe. Anton s’agenouilla et lui saisit les hanches. Elle était grande ouverte. Il la pénétra comme un piston et se mit à la pilonner avec force. Elle sentait ses fesses et ses cuisses ballotter sous les assauts répétés. C’était une sensation nouvelle pour elle. Marie n’avait plus fait l’amour depuis ses années d’internat. Elle s’était alors donnée à son premier petit ami, dès le début de leur liaison. Presque tous les soirs, après le couvre-feu, ils faisaient l’amour furtivement dans le gymnase du lycée. Elle était mince et sportive à cette époque, à peine sortie de l’adolescence. L’histoire s’était mal terminée. Marie avait déprimé, redoublé sa première et pris quinze kilos. Les oscillations de sa croupe (de sa masse graisseuse, se disait-elle avec honte et délectation) l’excitaient plus encore que le sexe d’Anton qui la pilonnait sans ménagement. Ces oscillations se propageaient à ses flancs et à ses seins qui ballottaient à contretemps. Elle cria bientôt de jouissance, sans retenue, tandis que son jus coulait en abondance le long de ses jambes. Marie reprit ses esprits lentement. Elle se sentait ...