Vertiges
Datte: 23/06/2017,
Catégories:
fh,
jeunes,
fépilée,
fsoumise,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
ffontaine,
pénétratio,
initiatiq,
fsoumisah,
... le feuilleta. Il l’avait représentée pendant son sommeil. Elle fut de nouveau saisie par la sensualité qui se dégageait de ces lignes. L’abandon du corps, bien plus ample qu’elle n’avait jamais été. La pesanteur des seins opulents et libres, esquissés en deux courbes paresseuses. L’ampleur des hanches qui convergeaient vers une intimité généralement cachée d’une main ou d’une cuisse. Les pieds, esquissés de quelques traits semblaient chaussés de fines sandales et décorés de motifs. Marie se regarda dans le miroir de la chambre et se trouva quelconque, sans rien de la sensualité des dessins… — Je ne ressemble pas beaucoup à la Marie de tes rêves, dit-elle d’un air soucieux. Moi qui me trouvais grosse et qui a fait régime sur régime depuis trois ans, je ne sais plus quoi penser.— Mais tu es la Marie de mes rêves, répondit Anton.— J’en suis loin. Pour avoir un cul comme celui de ton odalisque, là, il faut un peu que j’y mette du mien…— Je préfère autant pas répondit Anton en riant. La seule chose à faire, c’est juste d’oublier tes régimes, et d’accepter dans ta tête que tu es belle avec tes formes. Tu as un genre de beauté qui demande de la plénitude. Ce n’est pas le cas de tout le monde. Ta copine Charlotte, par exemple, elle est très bien comme elle est. Camille, par contre, gagnerait à prendre quelques kilos. Une fois que tu auras accepté d’être comme tu dois être, ton poids se stabilisera tout seul. Tu verras…— Hmm, répondit Marie. Ils restèrent la journée au lit. Anton ...
... commanda des pizzas. Marie en mangea l’essentiel, avec un délicieux sentiment de culpabilité. Anton continuait de l’apprêter et elle s’abandonnait totalement à lui. Il lui offrit de lourdes dormeuses qui lui descendaient jusqu’aux épaules, sorties d’elle ne savait où. Il lui rehaussa les joues, les seins et la fente de rouge. Enfin, s’assit devant elle avec un plateau chargé de couleurs. Il lui parfuma les pieds, les sécha, puis commença à les décorer. Il travaillait rapidement, sans parler. Il utilisait de petits cônes remplis de pâte et un pinceau pour les motifs les plus fins. Marie regardait avec étonnement les minuscules arabesques multicolores qui couraient sur sa peau. — Où as-tu appris à faire cela ? demanda-t-elle stupéfaite— Une amie m’a appris la technique, dit-il en dispersant de la poudre dorée sur une figure. Après, les motifs, je les crée au vol. Ça te plaît ?— Euh… oui, répondit-elle. Je crois que j’aime. Ça va être dur à cacher à la piscine, mais j’aime bien.— Pourquoi veux-tu les cacher ? demanda Anton.— Euh… je ne sais pas… elles vont me regarder comme une extra-terrestre. Mais bon. Je suppose que je m’en fiche, en effet…— Un peu que tu t’en fous. Tu verras, elles seront toutes jalouses. Il travaillait méthodiquement, avec des gestes précis. Il paraissait concentré mais son excitation était clairement visible. Marie étendit une main, saisit son sexe et commença à le caresser. Il leva les mains de son travail et se laissa faire. Elle n’était pas très experte, ...