1. Vertiges


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, jeunes, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, pénétratio, initiatiq, fsoumisah,

    ... dépravée. Elle resta quelques instants sur les genoux, le sexe ouvert, couverte de terre humide, et cela l’excitait plus encore. Elle voulait se donner encore et encore. Elle savait que jamais Anton ne pourrait éteindre le désir qui emplissait son ventre. Ils étaient rentrés, lentement, sans suivre l’allée. Le contact de la terre sur ses pieds et entre ses orteils lui envoyait des vagues de désir qui remontaient ses jambes jusqu’à son sexe. Anton la tenait enlacée. Sa main reposait sur ses hanches, s’attardait parfois sur ses fesses. Marie jeta un œil sur le sexe de son amant. Il était au repos. Elle l’avait épuisé songea-t-elle. Ils prirent un bain, et Marie s’abandonna aux caresses d’Anton, qui frottait doucement chaque parcelle de son corps. L’eau brûlante la détendit et elle prit conscience de son extrême fatigue. Elle n’avait pas dormi depuis près de trente-six heures. Il la mit au lit et lui massa doucement les épaules et le dos. Elle s’abandonna complètement et, épuisée, s’endormit sous ses caresses. La chambre était sombre lorsqu’elle émergea d’un sommeil lourd. Elle mit un long moment à se remémorer où elle était et pourquoi elle était nue. Anton était assis au pied du lit, son cahier à la main et la dessinait encore. Elle se redressa et eut un mouvement de surprise en voyant scintiller ses mains et ses pieds. Anton lui avait mis une douzaine de bracelets fins à chaque bras, et lui avait verni les ongles en vermeil. Il avait procédé de même avec ses pieds et ses ...
    ... chevilles. Ses orteils aux ongles rouge-vermeil portaient des anneaux brillants. Anton avait aussi passé plusieurs colliers à son cou. Ils couvraient ses seins et son ventre, jusqu’à son nombril. En les admirant, elle vit qu’il avait aussi rehaussé de rouge les aréoles de ses seins. — Excuse-moi, j’aurais dû te demander. Mais tu dormais si profondément. C’était plus fort que moi, lui dit-il avec un air confus et têtu à la fois. Marie rit. — Où as tu trouvé ce vernis et tous ces bijoux ? Ce sont des trophées pris à tes conquêtes ?— J’ai toujours été fasciné par ces trucs de fille, répondit Anton avec embarras. Je suis un peu fétichiste, je pense. Je te préviens, c’est pour ça que mes conquêtes m’ont quitté… toutes.— J’aime que tu me décores. Ça m’excite, tu ne peux pas imaginer, répondit Marie écartant lentement ses cuisses et en lui présentant sa fente luisante, qu’elle ouvrit de deux doigts. Ils refirent l’amour, lentement, sans se presser. Anton pétrissait les formes de Marie. Elle levait les jambes et jouissait des oscillations de ses cuisses et des ballottements de ses seins. Ils jouirent ensemble. Anton éjacula longuement en elle tandis que le sexe de Marie ruisselait sur les draps. — Excuse-moi pour ça, dit-elle timidement en contemplant la large tache sur le drap. Il vaut mieux qu’on fasse l’amour dehors, puisque tu as la chance d’avoir un jardin privé… Anton rit. — Ne t’inquiète pas. J’adore que tu t’abandonnes dans mes draps. Elle attrapa le carnet de croquis d’Anton, et ...
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