1. Vertiges


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, jeunes, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, pénétratio, initiatiq, fsoumisah,

    ... mais Anton ne résista pas longtemps. Son éjaculation abondante surprit Marie qui se trouva inondée. — Il ne faut pas bouger surtout, tant que le henné n’est pas sec lui dit-il. Tu es condamnée à rester dans cet état pendant une heure ou deux, petite coquine.— Ça me va, répondit Marie en le caressant doucement. Elle regarda ses mains, aux ongles cassés. — Pour tes mains, c’est plus difficile, dit Anton, en suivant son regard. Je préférerais te confier à ma vieille amie qui s’y connaît mieux. Ils sortirent tôt le lundi matin. Marie renonça à remettre sa robe, trop endommagée deux jours plus tôt, et Anton lui prêta une tunique courte qu’il tenait d’elle ne savait où ainsi qu’une paire de tongs à sa taille. Il faisait bon. Ils se rendirent chez la « vieille amie » d’Anton. Elle s’appelait Nadja, semblait avoir vingt ans, et tenait ce qui ressemblait à un établissement de bains. Le lieu ne payait pas de mine, et se cachait derrière un mur de béton fatigué, semblable à celui d’Anton. Nadja était vive et souriante, très brune aux grands yeux noirs. Marie l’aima immédiatement. — Salut Nadja dit Anton. Je te présente Marie, ma Muse.— Ta Muse ? Félicitations Marie, s’exclama Nadja. Félicitations Anton, je suis heureuse de savoir que tu as retrouvé une Muse. Ça faisait plus d’un an qu’il était sans inspiration ajouta-t-elle à l’adresse de Marie demeurée interdite.— Marie qui est la plus belle femme au monde, doit être plus belle encore. Tu peux t’en occuper ? Anton les laissa seules. ...
    ... Il avait rendez-vous avec un client potentiel. Une heure plus tard, Marie détendue par le bain était entre les mains de Nadja qui l’épilait au sucre. Marie admirait son adresse, ses gestes vifs et précis, semblables à ceux d’Anton. Nadja lui épila le corps, pourchassant chaque duvet un peu voyant. Puis elle souleva le drap de bain qui protégeait son intimité et commença à épiler son sexe. Marie se raidit. Nadja la caressa et lui parla doucement. — Détends-toi, lui dit-elle. Je ne vais pas faire grand chose aujourd’hui… Je ne peux rien faire, tu t’es rasée récemment. Marie se sentit devenir écarlate. — Il ne faut pas se raser, continua Nadja doucement, ça abîme ta jolie petite montagne d’amour… Laisse pousser tes poils une ou deux semaines et je les épilerai au sucre. Tu seras douce comme la soie et tu pourras t’offrir sans honte à ton homme. Elle se tut, puis ajouta. — Une femme doit se parer pour son homme, et apprêter chaque endroit de son corps. Mais ce lieu sacré, ici, doit être le plus beau, le plus doux et le plus parfumé. C’est là qu’ils goûtent notre plaisir, et là qu’ils nous font jouir et nous fécondent. Je ne comprends pas pourquoi tant de filles le négligent… La règle est pourtant simple : plus c’est caché, plus c’est secret, plus ca doit être beau. Elles font toutes le contraire… Marie rougit encore et acquiesça sans trop réfléchir. Quelque chose se tordit dans son ventre, et l’excitation se transmit à son sexe. Nadja le vit probablement, mais ne dit rien. Elle ...
«1...345...8»