1. Vertiges


    Datte: 23/06/2017, Catégories: fh, jeunes, fépilée, fsoumise, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, ffontaine, pénétratio, initiatiq, fsoumisah,

    ... regarda Marie, puis appela: — Safiyya ! Tu es occupée ? Une jeune femme entra dans la petite pièce où se trouvaient Marie et Nadja. — Non. Il est encore tôt, répondit-elle. Bonjour, ajouta-t-elle à l’attention de Marie.— Ma sœur, Safiyya, la présenta Nadja. C’est Marie ajouta-t-elle en direction de sa sœur. La nouvelle Muse d’Anton. Safiyya rit légèrement. — Enchantée Marie. Félicitations. La nouvelle Muse ? Le cœur de Marie se serra. — Peux-tu m’aider, demanda Nadja. Il faut qu’elle soit la plus belle a dit Anton. Safiyya l’examina en détail, sans retenue. Marie mit une main sur son sexe, puis renonça à se cacher. À quoi bon ? Safiyya jeta un coup d’œil sur ses pieds et ne put retenir un petit rire. — Il a fait des progrès quand même, tu ne trouves pas ? sourit Nadja.— C’est mieux, en effet, rit Safiyya, mais il a encore de la marge. Pour les ongles, par contre, c’est pas ça.— On va lui en poser des neufs, proposa Nadja. Parfois, la technique moderne a du bon. Deux heures plus tard, Marie ne se reconnaissait plus. Ses cheveux, gonflés et fortifiés étaient joliment relevés, dans un mouvement simple. Nadja lui avait maquillé les yeux, relevant ses cils et ombrant légèrement ses paupières, et le regard de Marie avait changé. Safiyya lui avait posé des ongles aux pieds et aux mains. Les deux sœurs avaient choisi la couleur : rose fuchsia intense, un peu métallisé. Marie aurait préféré quelque chose de plus discret, mais elle n’avait pas eu voix au chapitre. Elle devait ...
    ... admettre que cela rendait bien avec son teint et son henné. Les ongles dépassaient de ses doigts près d’un centimètre, et Marie avait l’impression étrange de ne plus pouvoir rien faire de ses mains que Nadja achevait de décorer de motifs. Marie devait bien admettre qu’elle était beaucoup plus habile qu’Anton. Safiyya s’était éclipsée. Le calme était revenu. Marie hésita, puis se lança. — Nadja, demanda-t-elle. Tu as connu les anciennes Muses d’Anton ? Nadja rit. — Oh ! La petite curieuse qui veut tout savoir sur son homme… Oui, j’en ai connu quelques unes. Pas beaucoup. Elles ne sont pas si nombreuses… Elle ajouta : — Anton n’est pas un homme à femmes… C’est elles qui l’ont quitté. Il est un peu fou, tu sais…— Je crois que j’aime bien sa folie, dit Marie en rougissant— Attend de le connaître un peu mieux. Si tu aimes toujours sa folie… alors que Dieu vous donne du bonheur toute votre vie durant.— Comment étaient-elles ? demanda Marie ?— Folles, comme lui. Mais un peu moins que lui. C’est pour ça qu’elles sont parties.— Mais physiquement ? Elles étaient belles ? Fines ? Amples ? Il me dessine avec quarante kilos de plus que j’ai …— Anton sait voir la beauté cachée. S’il te dessine ainsi, c’est que tu dois être ainsi. D’ailleurs, dans ton cas, c’est évident. Sinon, oui, elles étaient toutes belles. Mais toutes différentes.— Comment ressembler à la Marie dont il rêve ? se désespéra Marie. Je n’ai rien à voir avec elle…— Ah ! Tu veux que je te dise comment attraper son cœur ? Comment ...
«12...456...»