L'été de toutes les expériences - Histoires de Sexe

L'été de toutes les expériences

... déconner.— Comme, par exemple, picoler et se faire tirer par tous les diables… C’est qu’elle en a eu des amants, la Nadège ! Combien au juste ? Dix, vingt, cent, mille ?— Ne l’écoute pas, elle raconte encore n’importe quoi. Rachida, c’était un peu le pendant féminin de Noël. Tout comme lui, elle avait tendance à dire n’importe quoi et ça tournait généralement aussi autour du cul. Nous sommes donc allés chez Nadège, nous nous sommes attablés tous les trois dans la cuisine, autour d’une bonne bouteille de vodka. — On se disait, avec Nadège, que c’est dommage que tu t’en ailles et qu’on aurait bien aimé mieux te connaître… du genre te connaître plus « intimement », si tu vois ce que je veux dire. Tellement intimement qu’on aurait pu faire golo golo dans la case… Alors, qu’est-ce que t’en dis ? J’en disais pas grand chose, car la proposition était abrupte. — Deux belles femmes comme nous, avec le diable au corps et le feu au derrière, ça ne te dit pas ?— Et si on lui montrait la marchandise ? proposa Nadège. Et les voici toutes les deux, toujours assises à table, en train de se dépoitrailler. D’abord en soutien-gorge, puis les soutiens-gorge valsèrent. Elles se retrouvèrent nichons à l’air, sans aucune gêne visible. Pour elles, il s’agissait juste d’une bonne farce. — Alors, lesquels de nos nichons te plaisent le plus ? Les collines affaissées de Nadège ou mes gros bouts tout marron.— Moi, j’aime bien les deux.— Nous aussi, on aime les deux, n’est-ce pas, ma chérie, qu’on aime ...

... les deux ?— Oui, on aime les deux.— On aime les deux et on s’aime toutes les deux, ajouta Rachida avec malice. Sur ce, elle se leva, se rapprocha de son amie et posa ses lèvres sur les siennes. Les deux femmes se roulèrent une pelle, se bécotèrent avec passion. Ce n’était pas du bluff, on voyait bien qu’elles en avaient l’habitude. Elles avaient presque oublié ma présence. Elles se tripotaient les seins, elles se roulaient des galoches. Le spectacle était vraiment très excitant. Moi qui pensais ne plus être attiré par les filles, je me mis à bander. Rachida s’est relevée, Nadège lui retira sa jupe. Elle était entièrement nue dessous, elle n’avait pas de culotte et elle était entièrement rasée. Deux anneaux dorés ornaient ses grandes lèvres et un petit cœur percé était tatoué sur une de ses fesses. — T’aime les chattes toutes lisses ? me demanda-t-elle, tandis que Nadège lui dévorait l’abricot.— Oui, et j’aime les filles sans culotte.— C’est Nadège qui me l’a retirée ce matin pour me lécher la foune, c’est une vraie obsédée du cul, ma copine ! Hein, Nadège, que t’es une obsédée ? Et si tu montrais tes grosses fesses à notre invité ? Elle la fit se relever et elle l’aida à se dévêtir. Elle non plus n’avait pas de culotte, elle aussi avait la foufoune glabre et plusieurs tatouages criards autour du sexe. Ses cuissots étaient épais et son bassin très large. Rachida la fit se retourner pour qu’elle me montre ses fesses. C’était indiscutablement la partie la plus disproportionnée de ...