L'été de toutes les expériences
Datte: 21/08/2019,
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Collègues / Travail
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... cul, mais je n’avais qu’une envie : qu’il me le bourre comme une salope. J’ai tourné la tête, il avait retiré sa chemise et était torse nu, poilu comme un singe, de longs poils, dont certains étaient blancs, lui couvraient tout le torse. Quant à sa grosse bedaine, elle était vraiment bandante. — Dis-moi que je suis bonne. Dis-moi que je suis une bonne petite pute. Dis-moi que tu aimes mon cul. Mais ça, c’est certain, mon cul, il l’aimait. Il lui faisait sa fête. Noël était parti en vacances, sans se douter de rien et moi je venais de rempiler pour un mois, presque uniquement pour le plaisir de profiter de Jacques car, initialement, je n’avais pas prévu de travailler en septembre. Ca se passait presque tous les soirs. En l’absence de Noël, c’est Jacques qui me raccompagnait à ma piaule et qui me faisait l’amour. J’aimais son odeur forte, j’aimais ses coups de queue puissants et j’aimais sa barbe de patriarche. Je ne lui refusais jamais rien, même quand il me faisait lécher sa queue luisante qui sortait de mon cul, ça me dégoûtait un peu, mais c’est avec un réel plaisir que je suçais cette grosse bite pour lui arracher toute sa sève. C’est avec un grand pincement au cœur que je vis les derniers jours de septembre arriver. Noël n’avait pas reparu, il était tombé malade en vacances, et Jacques s’était octroyé quelques jours de congé dans sa famille. Un départ triste, sans la présence de mes deux amants. Le dernier jour, je suis allé dire au revoir aux deux filles de la ...
... pluche. Presque deux mois que je me faisais baiser par des mecs et que j’y prenais beaucoup de plaisir, je pensais très sincèrement être devenu homo, d’autant plus que plus aucune fille ne semblait m’attirer. Je me sentais très féminine, très « petite pute ». Je regrettais de ne pas avoir offert mon petit cul plus tôt, je regrettais de ne pas avoir sucé des bites. Mais, désormais, j’étais bien décidé à rattraper le temps perdu. À la fac, je connaissais plusieurs homos et j’avais bien envie de tous les essayer. J’étais entièrement passif, pas une fois je n’avais eu envie de sodomiser mes partenaires et je crois que, s’ils me l’avaient proposé, j’aurais été bien embêté. À la limite me faire sucer, mais même, sans plus, je préférais de loin être la « femelle ». Rachida, avec sa gouaille habituelle, me dit : — Alors, pour ton dernier jour, tu payes ton godet ? Et, comme je lui proposais de venir boire une bière à l’entrepôt : — Mais non, bêta, tout à l’heure, après le boulot. Ce sera plus sympa. Qu’est-ce que t’en penses, Nadège ?— Ben oui, je suis partante. A la sortie du travail, après avoir salué tous mes anciens collègues, nous nous sommes engouffrés tous les trois dans la petite voiture de Rachida : — On va dans quel troquet ?— On peut aller chez moi, mon Jojo n’est pas là.— Son Jojo, c’est son julot, commente Rachida en me lançant un clin d’œil dans le rétro, et quand il n’est pas là, la drôlesse, elle en profite pour faire plein de choses que la morale réprouve.— Arrête de ...