1. Ecole du sexe (18)


    Datte: 22/08/2019, Catégories: Hétéro

    ... genou droit. Son visage se crispa en me voyant faire. -Vous savez, monsieur l’examinateur, vous n’êtes pas censé insulter les candidats. -Je n’ai insulté personne, rugit-il. -Alors pour vous, dire de moi que je suis une salope n’est pas une insulte, s’indigna ma petite-amie. -De salope ?! Mais ce n’est pas une insulte, ça ! C’est simplement … oyeozzis -Pas une insulte ! tonna Alice. Très bien, si vous le dites. Mais vous permettez tout de même que j’aille demander à monsieur Auburn ce qu’il en pense. -Nul besoin, très chère, répondit l’examinateur en tentant bien maladroitement de masquer la panique naissant sur son visage. -Si, j’insiste, poursuivit-elle. Je suis même certaine que vous mourez d’envie de m’accompagner ; après tout, si ce n’est pas une insulte, vous allez voir monsieur Auburn me rembarrer. Des gouttes de sueur perlèrent sur le front de l’examinateur. Dès ce moment, Alice et moi devinâmes que nous avions gagné. -Je suis désolé, ce n’est pas ce que je voulais dire. S’il vous plaît, ne lui en parlez pas. Je sais ! Si vous acceptez de garder le silence, je vous donne la note maximale ! -Nous pouvons l’avoir sans votre aide, maugréa-t-elle. L’examinateur semblait sur le point de baisser les bras. Resserrant le nœud de sa cravate, il tenta d’avaler sa salive sans bruit, mais ce fut un échec. Un bruit de déglutition résonna dans la salle de classe tandis que je me mis à réfléchir. -Nous ne vous dénoncerons pas, dis-je alors. L’examinateur me regarda avec une lueur ...
    ... dans les yeux. -Avec une condition. Vous allez nous faire passer, à Alice et à moi, notre examen. Vous donnerez votre note, qui sera au pire bonne, assurément, et vous réajusterez les notes de tous ceux étant déjà passés avec vous. Après tout, votre attitude les a tous fait paniquer. L’examinateur ne chercha pas à discuter et accepta de suite la proposition. Alice, bien qu’elle jouât le tyran quelques minutes auparavant, ne semblait pas contre cette idée. -Je vous regarde, dit-il alors l’examinateur en s’asseyant sur la chaise du bureau normalement réservé au professeur. C’est quand vous voulez. Je sentis qu’Alice allait rétorquer que nous n’avions pas besoin de sa permission, alors je me pressai de la rejoindre et l’embrassai fougueusement. Elle ouvrit de grands yeux surpris, mais après plusieurs secondes elle sembla participer à ce jeu auquel je l’avais invitée. Nous nous embrassâmes comme deux amants le feraient, comme les deux amants que nous étions. Nous nous servîmes de nos langues pour donner du plaisir à l’autre, et de nos mains pour en ressentir la chaleur. Nos esprits, en parfaite ébullition, s’accordèrent alors, et oubliant toute retenue je me baissai pour que mon visage atteignît le pubis de ma dulcinée. Elle n’eut guère le temps de souffler que ma langue, qui ne venait de se séparer de la sienne que depuis quelques secondes, frottait sa peau électrifiée par notre amour. Ma langue tournait autour de son sexe sans jamais le toucher, mes lèvres se fermaient pour aller ...
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