1. Un drôle de testament...


    Datte: 25/08/2019, Catégories: fh, fhh, fagée, inconnu, collection, volupté, fsoumise, strip, odeurs, fgode, init,

    ... l’aider… Je dois aussi vous dire que je suis célibataire. Pas tant que je n’ai pas trouvé la femme qui me convienne, mais parce que je préfère ma liberté, et surtout aller picorer dans la gamelle des autres poulets plutôt que d’avoir un cheptel à la maison. Bref, si je reste surpris c’est que la demande est pour le moins originale. Pour le reste, je ne vois aucun inconvénient à exécuter une telle demande, même si elle peut paraître saugrenue. Oh, bien sûr, même si Monique a près de quarante cinq ans, c’est une belle femme. Après tout, j’aurais pu plus mal tomber, les laiderons, dans nos campagnes, ce n’est pas ce qui manque ! La surprise passée, Monique et moi, convenons de nous retrouver le soir même, pour « exécuter le testament » de son cher défunt mari. Elle m’attend pour l’apéritif. En veuve traditionnelle, elle est vêtue de noir, ce qui met en relief ses formes et lui va à ravir. Elle a l’air un peu gênée et nous nous asseyons, côte à côte, sur le sofa qui fait face à une grande cheminée où une flambée jette une douce chaleur dans le salon. Devant nous, sur la table basse, repose, telle une relique, le coffret et son ustensile couché sur son lit de ouate. Après quelques moments de tergiversations, d’une conversation sans grand intérêt qui marque plus notre timidité à passer à « l’exécution » qu’autre chose, enfin elle se décide. D’un geste un peu nerveux, elle ouvre la boîte et en sort le terrible engin. D’une main un peu tremblante, elle s’en empare, semble le ...
    ... soupeser, en estimer le diamètre, la longueur. Je ne cesse de la regarder, durant tout ce temps. Il me semble que dans ses yeux, elle cherche à se remémorer le « réel »… à moins qu’elle ne se souvienne de la dernière fois où elle a reçu l’hommage de son mari ? Lentement, elle porte le godemiché, moulé sur Marcel, vers sa bouche et d’un baiser tendre, elle l’embrasse, avec ferveur. Puis elle murmure : — Merci, Marcel, pour cet inestimable cadeau ! Et sans attendre, elle me le confie. A ma grande surprise, me voilà avec cet engin dans les mains. J’avoue être embarrassé. Non seulement je n’en ai jamais tenu dans les mains, mais en plus le fait de savoir que c’est un moulage, réalisé sur un homme, m’impressionne, me met mal à l’aise. Comment le tenir ? Comme une matraque de CRS ? Non, un peu de décence ! Comme ma queue ? Pourquoi pas, mais cette partie n’est pas à moi. Délicatement ? Oui, mais attention de ne pas le faire tomber. L’empoigner ? Ce n’est pas un pic à glace, quand même ! Bref, j’avoue être particulièrement gauche. Mais pendant que je me pose plein de questions, Monique s’est levée et elle est en train d’opérer un strip-tease des plus audacieux. Devant la cheminée, elle ôte sa robe noire. Doucement. Elle la fait passer au-dessus de sa tête. Au fur et à mesure que la robe remonte et dévoile son corps, mes interrogations s’évanouissent. Les jambes gainées par des bas noirs, tenus par des jarretelles, rouges, laissent voir une bande de chair blanche de ses cuisses charnues et ...
«1234...»