1. Un drôle de testament...


    Datte: 25/08/2019, Catégories: fh, fhh, fagée, inconnu, collection, volupté, fsoumise, strip, odeurs, fgode, init,

    ... diaphanes. Sa culotte, assortie aux jarretelles, couvre à peine son pubis. Tissu arachnéen, qui laisse passer à travers la dentelle quelques poils noirs, mais rien sur le côté. Le ventre plat, se découvre. Un soutien-gorge rouge, à balconnet met en relief sa poitrine qui est serrée par la fine dentelle. La robe tombe par terre. D’un geste, elle détache son soutien-gorge, libérant deux magnifiques seins, un peu tombants, mais aux larges aréoles brunes qui contrastent avec la blancheur de la peau. Les tétons, déjà excités, pointent vers le haut. Et le fin soutien-gorge va rejoindre la robe, au pied de Monique. À l’aide de ces deux mains, elle fait rouler sa culotte sur ses hanches, ses cuisses et la laisse tomber sur ses chaussures. Mes yeux fixent sa toison brune, coupée courte, épilée. Entre ses jambes, légèrement écartée, je vois, en contre jour du feu de cheminée, deux lèvres fines et brunes qui pendent légèrement. Une bouffée de désir monte dans mon ventre, me met le feu aux joues. En bas et jarretelles, Monique m’invite à venir la rejoindre sur le tapis qui s’étale devant l’âtre. Avec une très légère hésitation, je m’approche d’elle. Que dois-je faire ? Quelle attitude adopter ? Marcel, dans son testament n’a rien dit. Alors, tant pis pour lui. Je décide de faire comme pour moi… Je m’approche de Monique et commence par lui tendre mes lèvres. Elle répond tout de suite à la sollicitation de ma langue. Nos échangeons longuement nos salives, tandis que mes mains s’égarent ...
    ... sur son corps. Sa peau laiteuse est douce au toucher. Le grain en est fin, les fesses soyeuses. Elle se presse contre mon torse et je sens la pointe de ses seins durcir au fur et à mesure où mes mains explorent son corps, mes doigts la caressent, l’excitent. D’un mouvement des hanches, elle effleure mon sexe qui s’est largement redressé. Ensemble, nous glissons sur le tapis, adoptant une position plus pratique aux lutinages des corps. Mes lèvres quittent sa bouche pour s’occuper de ses seins. Je vais les aspirer, les lécher, les sucer. Sous ma langue, les aréoles se plissent et font surgir les tétons, durs et pointus que je peux mordiller. Cette manœuvre déclenche chez Monique de longs soupirs de désirs et lui fait osciller le ventre. Ma main s’égare entre ses cuisses, qu’elle ouvre largement pour lui permettre d’envahir son intimité. Sous mes doigts, je perçois une humidité de plus en plus importante, preuve d’un désir qui monte. Délicatement, j’écarte ses lèvres et me retrouve dans son intimité, chaude et gourmande. Par une série de contractions, ma main est littéralement aspirée dans son sexe et je n’ai pas beaucoup de mal à le fouiller, caressant les parois glissantes d’humidité. Cette caresse lui fait creuser le ventre et monter et descendre ses fesses. Puis, je remplace ma main avec la bouche. Sous ma langue, son clitoris se développe, prend de l’ampleur, grossit. Petit bouton sensible, débusqué dans les plis gras et odorants, il pointe rapidement au-dessus de la vulve et ...
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