Un drôle de testament...
Datte: 25/08/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
fagée,
inconnu,
collection,
volupté,
fsoumise,
strip,
odeurs,
fgode,
init,
... je peux exercer dessus et autour une succion qui fait pousser de longs gémissements à sa propriétaire, qui en profite pour m’inonder le menton. Puis, avec ma langue, je m’efforce d’aller lui fouiller le plus loin possible son intimité, avant de m’attaquer à son petit trou. Sa rondelle, serrée à ma première approche, s’ouvre comme une fleur des champs au printemps, dès que ma langue darde à son entrée. Monique, les fesses soulevées, les mains les écartant, m’aide à la fouiller là. Je sens sur ma joue couler son plaisir et m’emploie à la fourrager le plus loin possible. La bouche collée à ses fesses, je déploie toute la souplesse de ma langue pour en faire le tour, aller cueillir odeurs et miasmes qui se dégagent au fur et à mesure de son plaisir. Dans une tétanisation de tous ses muscles, en gémissant de plus en plus fort, Monique explose. Haletante, reprenant difficilement son souffle, je reste un moment allongé, la tête prise entre ses cuisses serrées par le plaisir. Cette position, bien qu’inconfortable, m’a installé de façon à ce que mon entrejambe soit à la hauteur de son visage. Et je sens sa main qui me caresse, à travers mon pantalon, puis ouvre ma braguette et sort mon pénis, développant alors sa généreuse anatomie. Sa main, un peu rugueuse des travaux des champs, m’empoigne le dard et exerce de légères et excitantes pressions, de plus en plus rapides. Monique, affermit sa caresse et sans crier gare, m’embouche. Autour de mon pénis, je sens ses lèvres charnues qui ...
... font un délicieux anneau qui m’aspire, me pompe tandis que la langue titille mon gland. Puis la bouche avale ma hampe, loin. Si loin que je sens des spasmes de plaisir me parcourirent le corps. Après quelques allers et retours qui me mettent à la limite de l’explosion, Monique m’abandonne à mon triste sort du moment. J’avoue être dépité sur le moment, mais c’est oublier ma mission. Elle s’empare du godemiché, moulage de son cher défunt mari, le porte à ses lèvres, et en me fixant droit dans les yeux, avec un regard particulièrement salace et coquin, elle le suce, comme elle vient de me sucer, en s’emparant de ma queue qu’elle masturbe en même temps. J’ose avouer que cette vision m’excite. Et sous sa main, les premières gouttes de sperme viennent lui prouver que je suis prêt à aller un peu au-delà des volontés testamentaire de son cher Marcel. Monique comprend rapidement la situation. Et sans parler, elle se met en position de levrette. D’une main, elle s’introduit dans le sexe, sous mes yeux excités, le godemiché de son mari, qu’elle fait aller et venir lentement entre ses lèvres brunes et mouillées d’excitation. Je perçois son excitation qui monte, monte … et, elle m’invite à venir la sodomiser en même temps. Immédiatement, je présente mon sexe à l’entrée de son petit trou, largement lubrifié et sans forcer, d’un petit coup de rein, je suis absorbé. Contre sa muqueuse anale, je sens le godemiché qui besogne le sexe et après quelques secondes, en alternance avec les aller et ...