1. Elle m'obsède...


    Datte: 26/08/2019, Catégories: fh, fplusag, inconnu, prost, collection, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme init,

    ... tendait sa main ouverte, attendant mon règlement. Là, j’ai quand même compris qu’il me fallait sortir mon argent. Avec cette rapidité qui cachait ma maladresse et ma soudaine gêne à devoir payer cette femme pour faire « l’amour », je lui ai tendu mes billets dont elle s’est emparée rapidement et avec avidité pour se diriger vers son sac. Tout en marchant, elle m’a dit : — Ben, reste pas planté là, mon chou ! Déshabille-toi… T’as une chaise pour mettre tes petites affaires. J’ai fait un pas hésitant, puis un second plus affermi vers la chaise en paille, tout en la suivant des yeux dans ses gestes. Elle-même avait entrepris de se dévêtir. Je ne perdais rien de la scène. C’était la première fois que je voyais une femme se déshabiller, pour moi. En quelques mouvements rapides, elle était presque nue et j’en avais le souffle coupé et la queue raide. Ses seins, libérés de leur soutien-gorge, étaient un peu lourds et retombaient légèrement. Leurs gros tétons bruns, larges et cylindriques, contrastaient avec l’enveloppe de leur chair qui avait, elle, une jolie couleur cuisse-de-nymphe émue. Elle avait gardé ses bas, qui s’arrêtaient à mi-cuisse. Des bas gris avec une large bande de dentelles tarabiscotées. Au-dessus, la cuisse était laiteuse, charnue. Mes yeux remontaient toujours plus haut et je découvrais le saint des saints, ce pourquoi j’étais là, ce qui nous faisait tous courir : son ventre. Un ventre un peu bombé, marqué de stries blanches sur les côtés comme elle en portait ...
    ... sur les cuisses, des sortes de veinules encore plus blanches que la peau de ses cuisses (plus tard, bien plus tard, j’apprendrais que cela s’appelle des vergetures). Mais ce qui aimantait mon regard, c’était son giron. Un pubis fourni d’une toison dense, drue et noire (c’était donc une fausse blonde). J’étais excité par cette vue et toutes ces « choses » que je découvrais « en chair, en os et en volume » et, curieusement, j’étais frustré. Non, elle n’avait rien d’exceptionnel. Ce n’était pas une « beauté fatale », une de ces pin-up que j’avais déjà contemplées dans certains magazines. Elle était juste une femme un peu quelconque qu’on peut croiser dans la rue, sans obligatoirement se retourner sur elle. Le seul avantage que je lui trouvais alors, c’était sa réalité et cette possibilité de la toucher. Enfin, à ce moment-là, je n’avais toujours pas osé la toucher. J’avais fini de me déshabiller. Gêné par ma nudité qui affichait mon désir d’elle, je ne bougeais toujours pas, ne sachant ni que faire, ni que dire, ni quelle attitude adopter. Oui, j’étais bel et bien emprunté, nu comme un ver avec cette femme qui déambulait, elle aussi dans le plus simple appareil. Heureusement elle savait, elle. Elle m’a fait passer derrière son paravent qui cachait un simple bidet et un vieux lavabo ébréché. Avec délicatesse, elle s’est emparée de mon sexe dressé et, tout en continuant à me parler de la pluie et du beau temps, elle a fait ma toilette intime. Cela faisait longtemps que je me lavais ...
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