Elle m'obsède...
Datte: 26/08/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
inconnu,
prost,
collection,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
init,
... uniques et magiques où un garçon, pour la première fois, pénètre l’intimité d’une dame ! Moi, je n’avais qu’une hâte, aller plus loin et n’écouter que la puissance de mon désir pour éclater en elle… Mes deux mains calées sur ses larges hanches à la peau légèrement grenée, j’essayais d’accompagner, plus que je ne dirigeais, le tempo. Elle s’était empalée sur mon pieu. Quand il était calé au fond d’elle, elle entamait un roulis des hanches qui me massait merveilleusement et me mettait le cœur aux cent coups. Puis elle reprenait rapidement ses mouvements ascensionnels pour retomber rapidement et recommencer, sans jamais m’éjecter de son intimité. Mes mains continuaient à s’enhardir durant ces quelques mouvements. Au-dessus de moi, ballottaient ses deux lourds seins diaphanes et légèrement nacrés aux tétons bruns. J’avançais vers eux mes mains en conques, comme pour cueillir des fruits murs, et j’essayais de m’y accrocher, de les palper. J’avais envie de sentir leur moelleux dans mes mains, mais d’un geste autoritaire, elle me les recalait sur ses hanches et continuait à monter et descendre devant moi durant encore quelques instants. Ces instants ont été brefs, car l’excitation physique, la vision de cette femme nue me chevauchant ont eu raison de moi et de ma jouissance. En quelques rapides allers et retours, montées et descentes, je me répandais dans une fulgurante tétanie de tout mon corps, dans mon préservatif, et déjà mon sexe, sous le coup de cette émotion, se ramollissait. ...
... En un tour de rein, elle était déjà debout, près du lit. Elle m’ôtait avec dextérité le préservatif usagé et se dirigeait aussitôt vers son coin de toilette, me laissant juste quelques secondes de répit pour reprendre mon souffle, digérer cette trop rapide étreinte ! Alors que péniblement je retrouvais mes esprits, elle était déjà plus qu’à moitié habillée, me pressant d’en faire autant. Dans un grand soupir, par lequel je devais exprimer à la fois mon contentement, mon exaspération et mes frustrations, je me levais, les jambes un peu molles et tremblantes pour m’habiller. Et sans plus attendre, je me retrouvais dans la ruelle, clignant des yeux face à un soleil mordant qui venait nimber la vie extérieure de quelques rayons dorés. Avec précaution, je sortais de la porte cochère en jetant un œil suspicieux à droite et à gauche, des fois que je croise quelqu’un qui me reconnaisse… et je retraversais les vieux quartiers. Tout en marchant, je repensais à ce que je venais de vivre, de faire… en même temps, je tentais de comparer avec ce que m’en avaient dit les copains. Le moment avait été court, très court, trop court. Elle m’avait pourtant bien promis une demi-heure, et moins de vingt minutes s’étaient écoulées ! Mais à qui la faute ? Bien sûr, j’étais furieux, contre moi et contre elle, mais je n’allais pas retourner pour lui réclamer une rallonge ou un dédit ! Et les images de cette première copulation, de la vision de son sexe, de ses fesses, de ses seins commençaient déjà à ...