Soumission
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
jouet,
fépilée,
fsoumise,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
strip,
Oral
fdanus,
jeu,
sm,
attache,
yeuxbandés,
fouetfesse,
fsoumisah,
... le suivit jusque devant le meuble contenant une quantité non négligeable de DVD. À force de discussion, ils finirent par se mettre d’accord. Dans les bras l’un de l’autre, ils regardèrent leur film puis partirent se coucher. Élodie, habituée à se lever tôt et ayant dormi une partie de l’après-midi la veille, se réveilla la première. Pendant deux heures, elle contempla Gilles dormir avec plaisir. Lorsqu’il ouvrit les yeux, il sourit et la découvrant éveillée. Il l’attira à lui et ils s’embrassèrent. — Ça te dirait de prendre une douche avec moi ? proposa-t-il. En toute simplicité, rajouta-t-il. Il ne s’agirait donc pas d’un jeu sexuel. Élodie accepta volontiers et ils partagèrent ce moment avec tendresse et douceur. Élodie put, pour la première fois, caresser de ses mains le corps de son amant et elle le trouva parfait. Elle espéra qu’il la laisserait souvent agir de la sorte. Pendant toute la douche, elle remarqua qu’il fut très attentif à ces gestes. Elle sentit que si elle dépassait d’un cheveu la limite entre le moment intime mais tendre et le jeu sexuel, il la rabrouerait instantanément. Elle resta donc dans les bornes prévues et ils passèrent un très bon moment. Il sortit le premier de la salle de bain, la laissant finir de se préparer tranquillement. Elle se maquilla et se sécha les cheveux pendant que Gilles s’activait dans la cuisine. Ils avalèrent ensuite un copieux petit déjeuner. Alors qu’ils étaient en train de ranger, le téléphone portable d’Élodie sonna. — Ce ...
... sont mes parents, dit-elle en voyant le numéro s’afficher. Elle répondit donc. Elle échangea quelques phrases avant de mettre sa main sur le récepteur et de lancer : — Mes parents me proposent de déjeuner avec eux aujourd’hui.— Ne l’as-tu pas déjà fait la semaine dernière ? Demanda Gilles.— Si, mais, si je refuse, je devrais expliquer pourquoi et je…— Tu n’as pas très envie de leur dire que j’existe, finit Gilles à sa place. Je comprends, rassures-toi, ajouta-t-il. Tu veux y aller ?— Sincèrement, non, je préférerai rester avec toi.— Alors montre-moi comment tu mens bien et que tu sais inventer de fausses raisons totalement fallacieuses, dit Gilles, plus sur le ton du maître que du compagnon. Élodie fit la moue puis remit le téléphone en place avant de lancer : — Je suis désolée, maman, mais j’ai déjà prévu de déjeuner avec des amies. Elles sont là en ce moment et on a prévu de passer la journée entre filles. Ça sera pour une prochaine fois. Quelles filles ? Maman, ça ne te regarde pas. Des amies, c’est tout ! Comment ça, lesquelles ? Des que tu ne connais pas. Bon, maintenant, je raccroche. Élodie le fit. — Ma mère est fatigante, parfois, dit Élodie. Mais c’est surtout parce qu’elle n’a pas gobé le mensonge. D’habitude, elle n’est pas aussi intrusive. Gilles sourit mais ne fit aucun commentaire. Ils finirent de ranger puis se rendirent dans le salon. À peine la porte de la cuisine passée, Gilles tendit deux bracelets à Élodie. Cette dernière sourit à ce qui pouvait passer pour ...