La Boîte de Pandore
Datte: 28/08/2019,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
cérébral,
revede,
Masturbation
journal,
... arrivé pour me filer un coup de main. J’étais penchée en avant, je lui tournais le dos, et quand j’ai senti sa présence j’ai tourné la tête : il était là, la bouche ouverte, en train de mater mon cul sans aucune discrétion.— Tu l’as remis à sa place j’espère ?— Non, il est un peu timide et un peu gauche, alors je veux pas le mettre trop mal à l’aise.— Oui enfin là, il est plutôt un peu trop à son aise, non ?— Bah, je lui ai fait un sourire et je lui ai dit de fermer la bouche. Il s’est ressaisi et tout gêné, il a pris un carton pour m’aider. C’est tout.— Ouais, ben la prochaine fois… Sa phrase se termine dans un grognement. Je l’ai vexé. Oh et puis zut, après tout, c’est un peu de sa faute si j’en suis là. Monsieur me délaisse tout à fait et m’en veut de me sentir flattée si quelqu’un prend soudain intérêt aux formes qu’il néglige. Après qu’on a raccroché, je repense à cet épisode. Le stagiaire ne m’intéresse pas du tout, en réalité je le trouve un peu bête. Je pense qu’il ne doit pas avoir beaucoup d’expérience des femmes et je me demande même s’il a vraiment une copine. Je me prends soudain à imaginer la scène de son point de vue à lui. Érotisme narcissique, j’imagine le spectacle que je lui ai donné et ce n’est pas pour me déplaire. Machinalement, je passe une main sur ma culotte. Un frisson me saisit. Mince ! Mais… je suis mouillée. Intriguée, je sors soudain de ma torpeur pour revenir à la réalité. J’étais en train de me caresser. En soi, ce n’est pas grave. Je vous ...
... l’ai dit, je ne suis pas novice en matière de sexe, j’ai expérimenté pas mal de choses par le passé, je ne suis pas une prude qui croirait soudain commettre un péché. Ce qui me gêne un peu plus, c’est que je ne m’étais pas masturbée depuis des mois. Ça remonte au temps d’avant Paul, quand j’étais encore en collocation avec mon amie Sarah. On avait chacune notre chambre. Parfois on ramenait un mec, parfois il m’arrivait de rentrer bredouille. Des fois, j’entendais ma coloc’ s’envoyer en l’air dans la chambre d’à-côté. C’est là que je me caressais le plus. Notre appartement était mal isolé ; malgré toutes les précautions, j’entendais Sarah haleter et les deux corps se percuter dans un claquement régulier. Je pouvais même entendre le moment de l’orgasme, même quand le mec était super discret. J’avais fini par devenir une experte de la chose, rien qu’à tendre l’oreille. Ces bruits me faisaient mouiller comme une dingue. Je passais mon doigt entre mes lèvres trempées, je remontais, je touchais mon clitoris. Je faisais des va-et-vient continus entre ma chatte, dans laquelle j’entrais une phalange ou deux, et mon clitoris gonflé de désir. Une fois, Sarah avait trouvé un amant particulièrement affamé. Ils ont fait l’amour toute la nuit, remettant ça à chaque fois. Il était intarissable. J’ai passé plusieurs heures à me branler toute seule dans mon lit, serrant ma main entre mes cuisses, les doigts fouillant le fond de ma culotte toute humide de mes sécrétions. Au moment de jouir, ...