1. La Boîte de Pandore


    Datte: 28/08/2019, Catégories: f, fh, Collègues / Travail cérébral, revede, Masturbation journal,

    ... j’étouffais un petit cri en enfouissant la tête dans l’oreiller. Au matin, je me suis levée, la tête dans le cul. J’avais mal au clitoris à force de l’avoir frotté toute la nuit. Sarah était dans la cuisine, on s’est dit bonjour et elle, avec une petite voix amusée : — Toi non plus, t’as pas beaucoup dormi ? J’espère qu’on n’a pas fait trop de bruit ! Je sais pas si elle se doutait que je les écoutais. Bref, la masturbation et moi, ce n’était pas vraiment nouveau. Mais depuis Paul, je ne l’avais plus fait. J’avais laissé de côté cette activité au profit d’un phallus de chair bien plus réel. Et sans regret. Mais hier soir, je me pris soudain à me caresser pour compenser l’absence de Paul. Et, chose que je comprenais encore moins, je m’étais caressée en pensant à un autre homme. Cette prise de conscience me trouble un peu. Ça casse l’ambiance : me voilà seule chez moi, sur mon canapé, seulement éclairée par la lumière de la télé, la culotte encore humide de ces pensées coupables… et personne pour assouvir ce besoin. Je ne sais plus que faire. Me laisser aller ? Cesser tout de suite cette activité troublante ? Je décide d’opter pour cette solution et je remets le son de la télévision. L’émission est vraiment débile, j’écoute le présentateur, totalement idiot, enchaîner des blagues plus nulles que les autres. Affligeant. Mais après cinq minutes, je dois m’avouer vaincue : mon bas-ventre est en feu, j’ai beau essayer de penser à autre chose, pas moyen de détourner mon attention. ...
    ... Et puis zut ! Je tire mon pantalon de pyjama, ainsi que mon haut pour être plus à l’aise. Me voilà en petite culotte sur le canapé, prête à me laisser aller. Je ferme les yeux et je fais le vide dans ma tête. Une main se pose sur le tissu de ma culotte et joue avec l’élastique. Non, autant faire durer le plaisir. Je ne rentre pas ma main, mais au contraire, je la promène sur le lycra noir. Matière douce, électrisante. Lorsque le bout de mes doigts passe sur mon clitoris, un frisson me parcourt. Je continue ma promenade, je sens le contour de mes lèvres à travers le tissu. Je promène ma main le long de ma fente, descendant et remontant doucement. J’ai la chair de poule. C’est bon. Mon sexe palpite, il est tout chaud sous le tissu. Je remonte. Mon autre main s’est faite active, elle caresse mon ventre puis remonte vers mes seins. Elle en frôle un, le téton est tout dur. J’humecte de ma salive le bout de mes doigts, et je mouille la pointe. Je souffle dessus. Cette sensation est délicieuse. Alors, je n’y tiens plus, je fais glisser ma culotte le long de mes cuisses puis une fois toute nue, je pose ma main sur mon pubis. Depuis quinze jours, je ne me rase plus. Étant donné que nos rapports se sont espacés avec Paul, j’ai jugé que c’était inutile. Et il aurait été mal venu de sa part qu’il m’en fasse le reproche, lui qui ne fait aucun effort de son côté. Mes doigts passent dans mes poils et cette sensation aussi me plaît : j’aime le bruit de leur crissement, alors que je me fraie ...
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